Les conséquences de la politique de gauche: violence, criminalité et mauvaise instruction publique

"Ma Maison – Notre Suisse", voilà le titre de notre plate-forme électorale. Un titre qui est aussi un programme. L’UDC s’engage avec conviction pour une Suisse où il fait bon vivre, pour une Suisse…

Adrian Amstutz
Adrian Amstutz
conseiller national Sigriswil (BE)

« Ma Maison – Notre Suisse », voilà le titre de notre plate-forme électorale. Un titre qui est aussi un programme. L’UDC s’engage avec conviction pour une Suisse où il fait bon vivre, pour une Suisse à l’économie florissante, pour une Suisse sûre, pour une Suisse dans laquelle les citoyennes et les citoyens se sentent bien.

L’UDC a obtenu de nombreux succès depuis 2003. Grâce à elle, le droit d’asile et des étrangers a été renforcé; l’adhésion à l’UE n’est plus un objectif stratégique du Conseil fédéral; la multiplication des impôts fédéraux a cessé; le compte d’Etat boucle pour la première fois depuis de nombreuses années sur un résultat positif. C’est aussi grâce à l’UDC que des thèmes autrefois tabous sont débattus ouvertement aujourd’hui: la criminalité chez les étrangers, l’aide au développement, l’islamisation ou encore les conséquences désastreuses de la politique des transports. Voilà autant de mérites de la politique opiniâtre et rigoureuse menée par l’UDC.

Le camp rouge-vert détruit la Suisse

Cette conception bourgeoise et libérale est à l’opposé des idées des partis rouges-verts. Ces milieux veulent étendre l’Etat social alors que nous savons tous que nous n’en avons pas les moyens; ils restent les bras croisés devant les abus sociaux, comme l’a souligné l’orateur précédent, Toni Bortoluzzi. La gauche refuse aussi d’agir contre les abus manifestes dans le droit d’asile et l’immigration clandestine. Elle veut faire des naturalisations un acte administratif et cherche à pousser par tous les moyens et aussi rapidement que possible la Suisse dans l’UE. Durant les quinze années écoulées nous avons pu constater ce qui arrive quand des idées de gauche obtiennent des majorités: explosion de la dette publique, hausse constante des impôts et des taxes, problèmes de sécurité, naturalisations en masse, immigration incontrôlée, et ainsi de suite.

Les conséquences désastreuses de la politique de gauche

Les conséquences de la politique rouge et verte sont désastreuses: le niveau de l’instruction publique baisse, la criminalité augmente, la prospérité diminue. La prostitution forcée, les délits de violence, la criminalité juvénile et les viols collectifs font aujourd’hui partie du quotidien suisse.

Les anciens leaders du mouvement de mai 68 ont infiltré le système et ils en vivent souvent fort bien. Mais leurs convictions profondes n’ont pas changé. Des convictions qui portent au mépris des valeurs centrales de la Suisse que sont la liberté, l’indépendance et la responsabilité. Le camp rouge-vert pousse les gens dans la dépendance de l’Etat au lieu de les encourager à faire des efforts et à assumer leurs responsabilités; il recherche une prétendue harmonie pour échapper à la concurrence; il vise un égalitarisme collectiviste et rejette la liberté individuelle.

La gauche politique – donc les socialistes, les Verts et autres alternatifs – veut transformer l’Etat en self-service. Si l’UDC ne corrige pas rapidement et vigoureusement le tir, nous serons nous aussi bientôt invités à participer à la fête. Et ce sera la fin définitive de notre Suisse belle et unique. Voyons donc un peu ce que l’on trouve sur les rayons imaginés par les vendeurs rouges-verts.

Instruction publique: violence et baisse de la qualité de l’enseignement

Les conséquences de cette infiltration rouge-verte sont particulièrement désastreuses dans le secteur de la formation: la suppression des notes à l’école primaire, l’abandon du principe de la performance, l’acception systématiquement négative donnée à des notions comme l’effort et le talent ont laissé des traces profondes. L’irrespect, le refus d’apprendre et la violence sont les principales conséquences de cette politique erronée.

Que n’étions-nous fiers de notre système de formation dans le passé! Les écoles suisses étaient les meilleures du monde. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, beaucoup s’en faut. L’étude PISA classe la Suisse dans la moyenne. Ce qui suscite inévitablement la question suivante: avons-nous trop peu investi dans le secteur de la formation? Avons-nous trop fait d’économies au détriment de cette tâche prioritaire de l’Etat? Bien sûr que non: en comparaison internationale, la Suisse dépense le plus par élève. Depuis le début des années nonante, les dépenses d’éducation des collectivités publiques ont massivement augmenté chaque année. Il est évident qu’on ne crée pas forcément plus de savoir avec plus d’argent. Trop souvent ces moyens sont gaspillés, dispersés en fonction de priorités mal définies. Il est grand temps de replacer la concurrence et le principe de la performance au cœur de l’instruction publique. Trop longtemps nous avons laissé se dégrader l’enseignement dispensé dans nos écoles. L’UDC exige que les fonds disponibles soient investis avec circonspection et intelligence, que les écoliers soient encouragés, mais que l’on exige aussi des efforts d’eux. Nous les préparons ainsi mieux à la vie professionnelle dans laquelle le sens de l’effort et la résistance sont primordiaux.

L’immigration incontrôlée génère des problèmes massifs

L’immigration incontrôlée, les abus dans le droit d’asile, la criminalité et la violence qui y sont liées, l’exploitation éhontée des institutions sociales et les problèmes d’intégration sont les tristes résultats de la politique rouge-verte. De plus en plus d’immigrants provenant de pays lointains arrivent en Suisse.

La part des étrangers à la population totale – donc sans les requérants d’asile, ni les personnes au bénéfice d’une autorisation de courte durée – a atteint un niveau record en 2006 avec 20,4%. Et cela bien que les naturalisations aient octuplé en l’espace de 15 ans. Cette forte immigration commence à échapper à tout contrôle. Elle génère surtout une arrivée en masse de profiteurs sociaux et de criminels. Elle provoque des problèmes dans les écoles et conduit à la perte de l’identité suisse.

Tout cela n’inquiète pas les élus politiques de gauche. Ils refusent d’agir contre les abus dans le droit d’asile. Au contraire, ils les encouragent en se battant bec et ongles contre le durcissement de la loi qui pourra enfin entrer en vigueur – grâce notamment aux efforts inlassables du conseiller fédéral Christoph Blocher. Les jugements scandaleux de la Commission de recours en matière d’asile illustrent bien la mentalité de la gauche politique. Bien que le peuple ait pris des décisions claires et nettes concernant les lois sur l’asile et les étrangers, ces juges continuent de faire exactement ce qu’ils veulent. Vous le voyez bien: la pression politique de l’UDC est plus nécessaire que jamais, notamment dans le domaine de l’asile et de la politique de migration. Nous sommes ici au Tessin, un canton frontalier. Ce n’est pas un hasard si c’est précisément l’UDC tesinoise qui a demandé à l’UDC Suisse de préparer une initiative populaire dans ce domaine.

Incompréhensible douceur à l’égard des criminels

Une juridiction molle, des procédures inefficaces et des prisons de luxe font que les criminels se sentent à l’aise en Suisse. Ils vivent plus confortablement dans les prisons-hôtels que nous leur offrons que nombre de citoyens honnêtes. Rien d’étonnant donc à ce que la Suisse soit submergée par lesdits touristes criminels. La douceur de la justice suisse commence à être connue loin à la ronde. Détail cocasse, le site Internet nigeriaworld.com présente les prisons suisses à la manière d’un catalogue touristique vantant le confort d’hôtels.

Voilà cette politique rouge-verte dont l’objectif premier est d’user la partie de la société qui accepte encore de faire un effort et qui travaille afin de la soumettre elle aussi à l’idéologie socialiste. Cette politique est parfaitement conforme au modèle de société rouge-vert qui récompense les profiteurs et pénalise ceux qui travaillent dur. Cela doit enfin cesser! Il est grand temps de mettre le holà à cette décomposition des valeurs et de l’identité encouragée par la gauche.

L’UDC est le seul parti bourgeois à refuser avec détermination cette évolution

Nous poursuivrons notre combat avec cette nouvelle initiative populaire. Car pour nous c’est une évidence: les lois suisses valent pour toutes les personnes vivant en Suisse. Il semble cependant que l’on n’ait pas encore compris partout qu’il existe également dans notre pays des lois non écrites qui doivent être respectées.

C’est pour cela que nous avons besoin de cette initiative: pour consolider nos règles et pour renvoyer systématiquement les étrangers qui ne les respectent pas. Celles et ceux qui ne s’en tiennent pas à nos règles ont perdu leur droit de vivre chez nous. Il est urgent que la majorité dans ce pays se manifeste à nouveau vigoureusement et qu’elle réclame la stricte observation des valeurs suisses.

Ne permettons pas que l’on transforme notre Etat en libre-service rouge-vert. Battons-nous pour nos valeurs et notre identité. Battons-nous pour notre patrie, pour notre Suisse!

Adrian Amstutz
Adrian Amstutz
conseiller national Sigriswil (BE)
 
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