Les syndicats sont les véritables gagnants de la libre circulation des personnes! Avec l’initiative de limitation, l’UDC s’engage pour un marché du travail libéral!
Depuis l’introduction de la libre circulation des personnes, la quote-part d’étrangers a passé de 20 à 25%. Le chômage parmi les étrangers est deux fois plus élevé que chez les Suisses. Des immigrants sans qualification poussent les nationaux dans le chômage. Les branches connaissant la plus forte immigration affichent aussi le chômage le plus élevé. 11% des étrangers sont au chômage dans la restauration et l’hôtellerie, 10% dans le secteur du bâtiment. Néanmoins l’immigration se poursuit. Les mesures d’accompagnement provoquent une forte régulation du marché du travail: un salarié sur deux de Suisse est soumis à une convention collective de travail, un sur trois à une règlementation du salaire minimal, un sur quatre à une convention collective de travail imposé à une branche complète. Les principaux profiteurs de ce système sont les syndicats qui exploitent sans vergogne les CCT pour accroître leur pouvoir et remplir leurs caisses. L’UDC Suisse a tenu conférence de presse aujourd’hui à Berne avec le conseiller national Thomas Aeschi, président du groupe, la conseillère nationale Magdalena Martullo, le conseiller national Jean-François Rime et Jean-Daniel Faucherre, vice-président ASTAG, pour présenter son analyse et proposer ses mesures.