Liberté et sécurité

L’UDC symbolise la liberté et la sécurité. A notre époque marquée par des migrations de populations entières et un mélange des cultures, la sauvegarde de la liberté et de la sécurité exige un combat permanent. La liberté et la sécurité forment la base de notre niveau exceptionnel de prospérité. La liberté et la sécurité sont les garants d’une grande force novatrice et de la création de plus-values de notre classe moyenne, de nos PME. La liberté et la sécurité sont aussi des avantages économiques uniques dont profitent les groupes industriels mondiaux établis en Suisse, créateurs de milliers d’emplois. La liberté et la sécurité figurent donc en tête des actions et objectifs définis par notre programme politique pour la législature à venir.

Albert Rösti
Albert Rösti
conseiller national Uetendorf (BE)

La vie quotidienne en Suisse est marquée par des trains bondés et des routes surchargés, par des attroupements de requérants d’asile traînant sur les places publiques et dans les gares. Un nombre croissant de travailleurs de plus de 50 ans ne trouvent plus d’emplois et des jeunes diplômés ont toutes les peines du monde à trouver une place de travail à la suite de leur formation. Le canton du Tessin en est un exemple frappant. La libre circulation des personnes, l’immigration incontrôlée, l’absence de contrôles aux frontières, l’intégration insuffisante des requérants d’asile et, partant, l’émergence de sociétés parallèles menacent aussi bien la sécurité que la liberté de notre pays. Rien d’étonnant, dans ces conditions, à ce que les thèmes des étrangers et des réfugiés préoccupent le plus les Suissesses et les Suisses, juste après l’avenir de l’AVS et de la santé publique.

La préférence nationale est devenue une préférence étrangère
Nonobstant la haute conjoncture dont bénéficie encore notre pays, de plus en plus de Suissesses et de Suisses ressentent très directement la pression de l’immigration. Les travailleurs de plus de 50 ans ont toujours plus de peine à trouver un emploi. Un nombre important d’entre eux se sont même retrouvés en fin de droits ces dernières années. Le nombre d’assistés sociaux parmi les plus de 50 ans a passé d’environ 38 500 en 2011 à 54 615 en 2017. Autre réalité frappante: le taux de chômage est plus élevé en Suisse qu’en Allemagne et, pourtant, des dizaines de milliers d’étrangers continuent chaque année d’immigrer dans notre pays en exerçant une pression supplémentaire sur le marché du travail.

Ce n’est donc pas un hasard si la majorité de la population et des cantons a accepté l’initiative contre l’immigration de masse pour adapter la Constitution fédérale afin que la Suisse puisse à nouveau gérer de manière autonome l’immigration sur son territoire. Le Parlement ne s’est pas gêné pour inverser complètement l’objectif de l’initiative : la préférence nationale exigée par l’initiative est devenue une préférence étrangère et, pour faire bonne mesure, un office de placement a été créé pour les frontaliers. L’initiative de limitation déposée par l’UDC au printemps 2018 vise à corriger cette absurdité indicible durant la prochaine législature en éliminant la libre circulation des personnes pour garantir durablement la liberté et la sécurité de la Suisse.

Albert Rösti
Albert Rösti
conseiller national Uetendorf (BE)
 
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