Journal du parti Franc-parler février 2021

NON à cette politique du coronavirus et trois fois OUI le 7 mars!

Les mesures du Conseil fédéral contre le Covid-19 façonnent nos existences et provoquent des dommages importants sur le plan social et économique. La population en a assez. Mais la majorité de centre-gauche au Conseil fédéral, dirigée par le chef du département de la santé Alain Berset, refuse de donner au peuple suisse un plan de sortie de cette situation pour le moins pesante.

L’UDC avait dès le début une stratégie claire pour faire face à la crise de Covid 19: les groupes à risque devaient être protégés et le reste de la population et de l’économie devaient pouvoir vivre et travailler aussi librement que possible, moyennant, bien évidemment, des concepts de protection spécifiques. L’économie, que nombre de personnes de gauche méprisent, fournit des emplois et des places de formation ainsi que des perspectives d’avenir, elle assure un revenu aux familles suisses. Nous nous trouvons aujourd’hui dans la situation grotesque où le Conseil fédéral ne protège pas efficacement les groupes à risque et pousse les personnes actives et en bonne santé dans une spirale infernale qui débouche sur la détresse psychologique et sociale. Par ailleurs, les mesures prises par le Conseil fédéral signifient que les contribuables suisses s’endettent de 100 000 francs supplémentaires chaque minute. L’UDC est le seul parti qui s’engage résolument pour que cela cesse enfin !

Le 7 mars, les Suissesses et les Suisses voteront sur des questions importantes. Tout d’abord, l’initiative populaire «Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage». Une initiative résolument tournée vers l’avenir pour notre société. Elle contribuera à freiner l’avancée de l’islam radical, qui va à l’encontre de notre culture et de nos valeurs. Je ne comprends pas qu’il existe encore des milieux – surtout des féministes de gauche – qui tolèrent encore que l’on opprime des femmes.

OUI à l’indépendance, OUI à l’accord de libre-échange avec l’Indonésie

L’accord de libre-échange entre les pays de l’AELE et l’Indonésie est également important pour notre pays. Il est d’autant plus important pour nos PME, qui connaissent des temps difficiles. Cet accord leur donne accès à un marché en pleine croissance et rend nos entreprises moins dépendantes du marché européen. Il est également un modèle de coopération pour les nouveaux partenariats commerciaux car il est fondé sur la durabilité et le respect de l’environnement. Enfin, toujours le 7 mars, nous disons également OUI à l’E-ID: il s’agit ici d’un OUI à plus de simplicité et de sécurité sur la Toile, à une solution suisse indépendante avec des règles claires et davantage de protection des données pour le plus grand bénéfice des citoyens, et pour une Suisse innovante!

Cela étant, la tâche la plus importante qui nous attend est la lutte pour préserver notre liberté, notre indépendance et notre autodétermination. Une lutte qui me tient à cœur et qui implique un rejet clair de l’accord institutionnel avec l’UE. Le front des partisans de ce dernier est peut-être en train de s’effriter, mais nous devons rester vigilants. Les pires ennemis de la Suisse viennent en effet de l’intérieur: ce sont ces forces qui veulent vendre notre pays à l’UE.

Un grand merci pour votre engagement!

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