Le traité de soumission à l’UE aura également des conséquences importantes dans le domaine de la santé. Là encore, c’est la population suisse qui devra payer et qui n’aura plus son mot à dire. Cela pose un problème majeur pour nos libertés fondamentales : avec ce traité d’adhésion, l’UE pourra imposer la censure des médias, des couvre-feux et la vaccination forcée en Suisse.
Les fonctionnaires européens chargés de la santé ne pourront pas faire l’objet de poursuites pénales
Nous devons laisser entrer dans notre pays des agences européennes et des collecteurs de données, qui bénéficieront en plus de tous les privilèges imaginables : exonération fiscale, immunité judiciaire, exemption des restrictions en matière d’immigration et bien d’autres avantages encore. Imaginez que vous soyez surveillé et espionné par une agence européenne…
Imaginez que les compétences soient étendues de telle sorte que ces agences européennes puissent également ordonner des mesures coercitives, ce même si vous subissez personnellement un préjudice ; les agences et leurs employés resteront impunis. Et ce n’est pas tout : vous n’aurez même pas à payer vous-même les dommages causés ! En tant que victime, vous subirez en revanche toute la rigueur de la loi. En bref, le contrôleur européen pourra tout faire, vous ne pouvez rien faire. Si le contrôleur européen s’installait en Suisse, il serait également exonéré d’impôts, comme c’est déjà le cas pour les bureaucrates de la santé au siège de l’OMS à Genève. Cela conduit à un système juridique à deux vitesses : d’un côté, la nouvelle classe sociale de l’OMS et de l’UE, et de l’autre, le peuple suisse qui travaille dur et qui n’a plus qu’à payer sans pouvoir s’exprimer.
L’UE pourra imposer la vaccination forcée, y compris en Suisse
Quand on parle de nouvelle pandémie : Saviez-vous qu’avec la conclusion du nouvel accord européen sur la santé, ce ne sont plus les représentants élus par le peuple qui décident de notre système de santé et de notre liberté d’expression, mais des technocrates européens installés dans des palais administratifs lointains et protégés à Bruxelles ? Ce n’est pas du tout anodin. Il s’agit de mesures profondément intrusives telles que l’obligation de se faire vacciner, de présenter un certificat, de s’isoler et de porter un masque.
La Suisse devrait également faire partie du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), mais sans droit de vote. L’obligation de se faire vacciner pourrait ainsi devenir contraignante et la liberté d’expression et les voyages pourraient être restreints sans que nous ayons notre mot à dire. Nous n’avons pas oublié : lors des restrictions liées au Covid-19, l’ECDC a été chargé par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, de censurer les médias dans le cadre de la « lutte contre la désinformation ». Voulez-vous laisser carte blanche à une telle institution en Suisse ?
Contrats de livraison secrets aux frais des contribuables suisse
Selon le paquet de traités européens, nous n’aurons plus le droit d’être informés dans le domaine sensible de la santé. Le texte du traité stipule en effet, dans un jargon bureaucratique bruxellois éloquent, que les documents classés « secrets » ne pourront plus être rendus accessibles au peuple suisse. Par conséquent, tant la Suisse que l’UE pourront conclure des contrats secrets pour la livraison de vaccins sans rendre de comptes à la population. Les compétences du préposé fédéral à la transparence seraient ainsi vidées de leur substance et les groupes pharmaceutiques étrangers pourraient vendre leurs doses de vaccins en Suisse aux contribuables suisses à des prix astronomiques, non vérifiables et sans aucun risque en matière de responsabilité, tout cela dans le plus grand secret et sans aucun risque entrepreneurial. En revanche, le risque sanitaire et financier serait entièrement supporté par nous, les Suisses.
Le droit européen en matière de santé primera sur le droit suisse
Si nous, les Suisses, ne nous conformons pas, nous serons sévèrement punis. L’UE pourra en effet imposer des sanctions (en jargon bureaucratique : « mesures compensatoires ») à notre pays si nous n’appliquons pas les normes sanitaires européennes. La Cour de justice de l’Union européenne a déjà clairement établi que le droit européen en matière de santé prime le droit national.
Nous ne pourrons plus décider par nous-mêmes, nous ne pourrons plus rien dire, nous ne pourrons plus rien savoir mais nous devrons tout accepter sans broncher. Et pour tout cela, nous devons payer des millions à Bruxelles pour des programmes douteux sur le genre et la rééducation ! Une prestation scandaleuse à un prix scandaleux !
Qui ne veut pas de ces diktats doit absolument s’opposer à l’ensemble du paquet de traités européens.