Nous ne devons pas céder au chantage
Etats-Unis, UE … ils veulent sanctionner notre réussite. Notre réponse est claire : Nous devons encore nous améliorer en tant que Suisse.

La Suisse est en ce moment secouée : Coup de massue économique des Etats-Unis avec les 39 %, asphyxie fiscale avec les 2’228 pages du traité d’adhésion à l’UE, un dépassement d’un milliard de francs dans l’achat des avions de combat F-35 … La même conseillère fédérale, Viola Amherd, qui a négocié le contrat avec le F-35 et l’a vendu comme un succès, a encore qualifié le traité avec l’UE de succès lorsqu’elle était présidente de la Confédération.
La classe politique veut une fois de plus tromper le peuple suisse. Avec le traité d’adhésion à l’UE, nous perdrons nos droits populaires. Ce n’est plus nous, les Suisses, qui déciderons de notre politique, mais les juges et les bureaucrates de l’UE. Et pour cela, nous devons encore payer des milliards de francs à Bruxelles.
Nous ne comprenons pas ce que font les États-Unis avec les droits de douane. Mais même Trump ne nous demande pas d’adopter les lois américaines et de nous soumettre à la juridiction américaine, comme le fait l’UE. Les droits de douane de 39 % des États-Unis ne sont pas éternels ; le traité d’adhésion, en revanche, nous lie pour toujours à l’UE en crise.
Nous avons l’expérience des tentatives de chantage ; en raison de l’initiative sur l’immigration de masse, l’UE nous a éjectés de son programme de recherche. En 2017, l’UE n’a plus reconnu la Bourse suisse afin de faire pression pour un accord-cadre. Lors de ces deux tentatives de chantage, nous avons trouvé de meilleures solutions suisses.
Signer un mauvais traité avec l’UE n’est pas une solution, mais un abandon de notre modèle de réussite. Ce traité européen nous privera de notre autodétermination, de notre liberté et de notre démocratie.
Nous ne devons pas céder au chantage. La bonne réponse est la suivante : Nous devons faire nos devoirs en Suisse, nous devons faire mieux que l’UE. Nous devons viser moins de bureaucratie et d’impôts, pour les entreprises comme pour la population et cela passe aussi par la suppression de la valeur locative, qui pénalise la propriété du logement au lieu de l’encourager.