Journal du parti Franc-parler Août 2025

Nouvelle normalité : Les criminels de l’asile causent pour plusieurs milliards de francs de dommages

Le commerce de détail suisse perd chaque année plus d’un milliard de francs à cause des vols à l’étalage organisés. Des bandes de requérants d’asile pillent systématiquement les magasins.

Une journée type dans une chaîne de magasins : A 8h20, un groupe de quatre demandeurs d’asile dérobe à Berne des lames de rasoir pour une valeur de 800 francs. À 10h15, trois demandeurs d’asile volent pour 1’200 francs de spiritueux à Zurich. A midi, un migrant d’asile débouté à Lausanne vole du champagne pour un total de 2’800 francs.

Les auteurs sont connus : D’une part, il s’agit de délinquants isolés comme le migrant débouté de l’asile qui, malgré le rejet de sa demande, vit dans un appartement en Suisse romande et conduit un coûteux SUV. D’autre part, nous avons affaire à des groupes organisés issus de centres d’asile, qui opèrent dans toute la Suisse et vendent leur butin à des receleurs qui tiennent de petits magasins de quartier. Ces derniers paient aux voleurs 50% de la valeur de la marchandise et revendent les biens volés au prix ordinaire, de surcroît sans s’acquitter la TVA, bien entendu.

Le professionnalisme de ces gangs est effrayant ; ils peuvent agir presque sans entrave. L’échange d’informations entre les corps de police cantonaux est trop lent et la justice traite souvent les délits comme des actes isolés plutôt que comme des vols commis par métier. Ce qui est particulièrement problématique, c’est qu’à Bâle-Ville, la police cantonale a reçu l’ordre de ne plus se déplacer pour les vols à l’étalage de moins de 300 francs !

Les conséquences sont lourdes : Des milliards de pertes pour le commerce, un manque à gagner en matière de TVA et une hausse des prix pour tous les consommateurs. Le pire est toute-fois la montée de la violence à l’encontre des employés – des menaces au couteau jusqu’à des agressions physiques entraînant blessures et traumatismes.

Les vols à l’étalage ne sont pas des délits mineurs. La politique, la justice et la police doivent enfin agir avec détermination contre les criminels de l’asile.

par l’auteur
Didier Spies
UDC (JU)
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