Stop à la Suisse à 10 millions : gardons une terre vivable pour nos enfants

La Suisse compte aujourd’hui un peu plus de 9 millions d’habitants. Si rien ne change, elle dépassera les 10 millions d’ici 2040. Ce n’est pas une vue de l’esprit, c’est le constat alarmant du Conseil fédéral lui-même. Et pourtant, Berne continue d’ouvrir grand les vannes.

Thomas Stettler
Thomas Stettler
conseiller national Soyhières (Cne Courroux) (JU)

Immigration massive, politique d’asile laxiste, accords bilatéraux incontrôlés : tout pousse à une croissance démographique hors-sol, qui ignore les réalités du terrain.

Un petit pays ne peut pas absorber le monde entier
Mais soyons honnêtes : un petit pays de montagne, avec des ressources limitées, ne peut pas accueillir indéfiniment des centaines de milliers de nouveaux arrivants chaque année. Cela n’a rien à voir avec le rejet ou la peur de l’autre. Il s’agit d’un principe de bon sens. Chaque mètre carré de béton grignote nos terres agricoles. Chaque million d’habitants en plus, ce sont des routes saturées, des loyers plus chers, des écoles débordées, des réseaux de transport au bord de la rupture.

Et qui paie l’addition ? Ce sont les familles suisses, les travailleurs de la classe moyenne, les jeunes qui n’arrivent plus à se loger, les agriculteurs qu’on pousse toujours plus loin.

Préserver notre qualité de vie, c’est agir maintenant
L’initiative « Stop à la Suisse à 10 millions ! » pose enfin les vraies questions. Elle ne s’attaque pas aux immigrés, mais à une politique migratoire irresponsable. Elle ne cherche pas à refermer la Suisse sur elle-même, mais à la protéger d’un développement incontrôlé. Elle demande que la Confédération prenne ses responsabilités, qu’elle fixe des limites claires, et qu’elle cesse de sacrifier notre qualité de vie au nom de la croissance à tout prix.

Ce n’est pas l’extrême droite qui parle ici. Ce sont les citoyens, les familles, les paysans, les travailleurs, qui veulent continuer à vivre dans un pays où l’on respire, où l’on se connaît, où l’on peut transmettre quelque chose aux générations futures. Une Suisse où l’on construit pour les gens, pas pour des statistiques.

Il est temps d’envoyer un signal fort à Berne : nous ne voulons pas devenir une mégapole anonyme. Nous voulons rester un pays à taille humaine, enraciné, prospère, libre. Dire stop aux 10 millions, c’est choisir l’équilibre, la durabilité, la responsabilité.

www.initiativedurabilite.ch

Thomas Stettler
Thomas Stettler
conseiller national Soyhières (Cne Courroux) (JU)
 
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