Trois femmes agressées entre avril et juillet 2025 dans le canton de Fribourg, toutes victimes d’hommes issus de l’immigration. Deux sont mortes, une a été laissée pour morte. La Suisse ne peut plus tolérer que des femmes tombent sous les coups d’immigrés violents, souvent connus des autorités.
Oui, en Suisse, des femmes meurent sous les coups d’hommes que nous avons accueillis au nom de notre politique humanitaire ou en vertu de nos valeurs libérales. Des hommes qui n’acceptent pas notre culture, qui ne respectent ni nos lois, ni nos femmes. Une violence patriarcale importée, dissimulée derrière le masque du multiculturalisme et qui profite de postures victimistes et antiracistes à la moindre question sur leur comportement. Ne sachant que faire, pendant que les victimes s’accumulent, l’État détourne le regard.
Alors je pose la question : où est le renvoi des criminels étrangers voté par le peuple en 2010 ? Où est la reprise en main de l’immigration, exigée par les Suisses en 2014 ? Où sont les mesures pour protéger nos femmes des hordes de loups arrivés par milliers sous couvert d’asile ?
3 femmes agressées, 3 agresseurs immigrés
On nous accuse d’exagérer et de stigmatiser. Mais qui ment : ceux qui préviennent, ou ceux qui se taisent ? Trois agressions conjugales, trois auteurs étrangers. Ce ne sont pas des coïncidences, ce sont les conséquences d’un laxisme migratoire organisé, assumé, idéologisé.
Je suis une femme. Je suis une élue. Et je suis révoltée. Car la Suisse ne protège plus les plus vulnérables. Elle excuse les bourreaux, tolère les menaces, et trahit les victimes. A l’image des loups dont on a toléré la réintroduction dans notre pays malgré leur dangerosité en affirmant que la cohabitation était possible et souhaitée, on tolère l’importation d’une criminalité étrangère pour les mêmes motifs. Mais ce ne sont pas des brebis que les autorités retrouvent égorgées dans le second cas, ce sont des femmes !
La peur doit changer de camp !
Il est temps de redresser la barre. La Suisse doit redevenir un pays sûr. Pour ses citoyens. Pour ses enfants. Et surtout pour ses femmes. Cela passe par des lois fermes, des juges courageux, mais surtout par le rétablissement d’un vrai contrôle aux frontières. Ce sont aux loups d’avoir peur, pas aux femmes !
Il y a près de 30 ans, l’UDC prévenait déjà : le laxisme à nos frontières et dans la politique d’asile ouvrirait la porte à une criminalité croissante. Aujourd’hui, les faits lui donnent tragiquement raison. Assez de naïveté. Assez d’aveuglement. Il est temps de protéger notre pays. A commencer par les femmes. Et ceux qui y vivent dans le respect.
Agissez maintenant pour protéger toutes les victimes des criminels immigrés : signez l’initiative pour la protection des frontières maintenant.