En Suisse, des milliers de propriétaires sont chaque année sanctionnée pour un simple fait : habiter dans leur propre logement. Cette injustice fiscale n’est rien d’autre qu’une surtaxe injustifiée. Elle pèse sur les épaules des familles, des retraités et de la classe moyenne.
La Suisse doit être le seul pays au monde à imposer ses citoyens sur un revenu fictif. Un revenu qui n’existe pas. Un revenu que personne ne touche. Le simple fait d’occuper le logement que l’on a financé, entretenu et chèrement acquis est considéré par l’État comme un enrichissement. Les autorités taxent ainsi avec zèle, année après année.
Ce système absurde, vision socialiste de la fiscalité, pénalise ceux qui ont choisi la voie de la responsabilité. Familles, jeunes couples, retraités qui ont fini de rembourser leur hypothèque : tous doivent continuer de payer pour un pseudo-revenu qu’ils ne perçoivent pas. Une double peine inacceptable.
Une injustice fiscale sans équivalent au monde
Dans un contexte où les loyers explosent, où le pouvoir d’achat s’effondre, la classe moyenne – pilier de notre pays – est étranglée par la fiscalité. Loin de favoriser l’accession à la propriété, notre système la décourage. L’épargne est punie, la prévoyance dissuadée.
Le rêve de devenir propriétaire est de plus en plus inaccessible pour de nombreux suisses. À cela s’ajoute cette absurdité de la valeur locative, qui pousse même certains à vendre leur bien ou à s’endetter de nouveau. Ceux qui travaillent, qui économisent, qui investissent dans leur avenir sont vus comme des privilégiés… et sanctionnés comme tels. Est-ce cela la justice fiscale ? Est-ce cela la reconnaissance du mérite et du travail ?
Une réforme urgente, un signal fort
L’initiative populaire pour la suppression de la valeur locative est une bouée de sauvetage pour des dizaines de milliers de citoyens. Elle incarne une exigence de justice, de cohérence et de respect. Il est temps de remettre le bon sens au cœur de notre fiscalité. Il est temps de dire stop à cette aberration qui détruit la confiance du citoyen envers l’État.
Supprimer la valeur locative, c’est rendre leur liberté aux propriétaires. C’est encourager la prévoyance. C’est permettre à la jeunesse de rêver d’un logement, à nos aînés de vivre dignement, à nos familles de respirer.
Cette taxe honteuse a trop duré. Le 28 septembre prochain, le peuple suisse aura l’occasion d’écrire une nouvelle page de justice fiscale. Refusons cette politique de punition. Refusons que l’État vienne taxer nos murs, nos toits et une fois de plus, nos efforts.
Mobilisons-nous ! Disons OUI à l’initiative pour la suppression de la valeur locative, à la justice fiscale, au bon sens et à une Suisse qui récompense le travail et la responsabilité. Ensemble, faisons tomber cet impôt inutile.