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Non à la loi sur le cinéma ; nous voulons décider par nous-mêmes des films que nous voulons voir

L’UDC s’engage depuis toujours pour la liberté du peuple suisse. Nous nous opposons à la politique de mise sous tutelle de la majorité de gauche rose-verte du parlement, aux baillis étrangers de Bruxelles et nous nous engageons clairement en faveur des citoyennes et des citoyens !

par Samuel Hasler, président du comité référendaire JUDC CH, Buchs (AG)

Il y a 6 mois, le Parlement a adopté une nouvelle loi restreignant encore notre liberté et notre autodétermination ; une loi qui nuit particulièrement aux jeunes, une loi des baillis étrangers de Bruxelles : la loi sur le cinéma, qu’on appelle communément « Lex Netflix ».

Cette loi induit la perception d’un nouvel impôt sur toutes les chaînes de télévision privées ainsi que sur les fournisseurs de contenu streaming en ligne. Ces derniers devront désormais reverser 4% de leur chiffre d’affaires à la Confédération et plus précisément à la faveur de la production cinématographique suisse. Oui, vous avez bien entendu : 4% du chiffre d’affaires, dans un contexte où la marge bénéficiaire se situe dans un petit 5%. Ce sont nous, les citoyennes et les citoyens, qui devront une fois de plus mettre la main au porte-monnaie pour payer ce nouvel impôt à la faveur du lobby du cinéma de gauche, qui pourra ainsi produire davantage de films dont vous n’entendrez jamais parler et que vous ne voudrez jamais voir de votre plein gré. Cette taxe nous est imposée à nous, consommateurs, à travers une augmentation des prix des abonnements, des films ou encore d’une augmentation significative des publicités sur les chaînes de télévision privées.

Les mauvais cinéastes sont déjà subventionnés à hauteur de 120 millions de francs par les contribuables
Aujourd’hui déjà, nous payons chaque année plus de 120 millions de francs de subventions au lobby du cinéma (qui d’ailleurs est présidé par un Conseiller national socialiste), que cela soit sous forme d’impôts ou encore de la taxe Serafe (anc. Billag). Avec ces 120 millions de francs, nous subventionnons des films qui, presque sans exception, font un flop car ils sont tout bonnement mauvais. Nous subventionnons des cinéastes qui refusent presque de produire de bons films, des cinéastes qui ne tiennent pas compte des souhaits ou des intérêts des consommateurs, des cinéastes qui, en clair, nous arnaquent. N’importe quel autre secteur d’activité qui gère aussi mal les lois du marché disparaît immédiatement de la scène. Voulons-nous donc vraiment jeter 30 millions de francs supplémentaires d’argent public dans le panier percé de ces cinéastes ?

En sus de cette taxe, nous serons en outre mis sous tutelle, le nouveau hobby des parlementaires de gauche rose-verte à Berne ; selon eux, le consommateur n’est pas suffisamment apte à décider ce qui est un bon film ou non, raison pour laquelle « papa Berset » nous dicte le choix de films que nous pouvons consommer. La loi exige que tous les fournisseurs de films proposent un tiers de films européens dans leur assortiment. Regarder des films et des séries ne coûtera donc pas seulement plus cher mais la qualité sera également à la baisse. Les fournisseurs devront potentiellement retirer de leurs programmations des films et des séries qui plaisent aux consommateurs parce que le département d’Alain Berset est d’avis que des films européens sont meilleurs pour nous. En vérité, le Conseil fédéral fait une fois de plus le jeu de l’Union européenne et espère ainsi améliorer ses relations avec Bruxelles, tout cela sur le dos des consommateurs. Voulons-nous vraiment nous laisser dicter le choix des films que nous pouvons regarder ?

Non à cette loi sur le cinéma anti-libérale
Les jeunesses des partis de l’UDC et du PLR refusent clairement cette loi nuisible et anti-libérale sur le cinéma. Nous nous sommes mobilisés afin que cette dernière soit soumise à la sanction du peuple le 15 mai prochain, pour que les citoyennes et les citoyens suisses aient l’opportunité de prendre le contre-pied des baillis de Bruxelles et de remettre à l’ordre la majorité de gauche rose-verte du Parlement.

Mesdames et Messieurs, au nom des Jeunes UDC, j’en appelle à votre soutien. Votez NON à la modification de la loi sur le cinéma et laissez ainsi les consommatrices et les consommateurs décider par eux-mêmes de ce qu’ils veulent consommer !

Merci beaucoup !

 
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