Feux d’artifice. Cris. Violence. Le samedi soir 17 mai, sous la gare des Eaux-Vives à Genève, deux bandes rivales se sont affrontées en plein cœur de la ville. Pas dans une banlieue oubliée, pas en périphérie, mais dans un lieu de passage quotidien pour des milliers de citoyens. Le chaos, au milieu des familles, des pendulaires, des enfants.
Pendant plusieurs minutes, les rues de Genève ont résonné comme un champ de bataille. Et que fait la gauche au pouvoir ? Elle regarde ailleurs. Elle condamne du bout des lèvres, elle relativise, elle minimise.
Ce déchaînement de violence n’est pas un fait isolé. Il est le symptôme d’un modèle d’intégration qui a échoué. Des bandes de jeunes, souvent issues de l’immigration ou du laxisme éducatif, imposent leur loi à nos rues. Feux d’artifice hier, armes demain ?
Le laboratoire du déni
Le canton de Genève se veut « progressiste », « inclusif », « tolérant ». Résultat : les forces de l’ordre sont paralysées, les voyous surarmés, et les citoyens pris en otage. Les responsables politiques semblent plus préoccupés par les « droits des délinquants » que par la sécurité de la population.
Et ne vous attendez pas à ce que la presse bien-pensante creuse les causes réelles : origine des auteurs, profil des bandes, liens éventuels avec des réseaux étrangers ? Motus. Le silence est devenu leur ligne éditoriale.
Il est temps de reprendre le contrôle
L’UDC, seule, ose dire ce que tous pensent tout bas : trop, c’est trop. Il faut une politique de tolérance zéro face aux fauteurs de troubles. Expulsions systématiques pour les étrangers violents. Renforcement de la présence policière. Et un signal fort : en Suisse, on respecte la loi ou on fait ses valises.
Ce qui s’est passé à Genève est une alarme. Encore faut-il vouloir l’entendre. L’UDC, elle, est prête à agir et c’est pourquoi elle a lancé l’initiative pour la protection des frontières. Signez et faites signer cette initiative.