L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’en prend à la souveraineté de la Suisse et le Conseil fédéral cautionne discrètement. L’UDC se défend en déposant des interventions parlementaires.
En modifiant le Règlement sanitaire international (RSI), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) prévoit des interventions de grande envergure. Son directeur général peut déclarer de son propre chef une urgence sanitaire mondiale et ordonner des mesures drastiques : Confinements, vaccination obligatoire, quarantaine et isolement, contrôle de l’information et censure menacent, dirigés de manière centralisée par l’OMS. C’est une menace pour la Suisse. Il faut également s’attendre à des coûts élevés pour les contribuables et les entreprises.
Le Conseil fédéral doit exercer son droit d’opposition
Politiquement, c’est là que le bât blesse : Si le Conseil fédéral ne déclare pas un opting-out d’ici le 19 juillet 2025, la Suisse en fera automatiquement partie et sera donc soumise au diktat de l’OMS sans pouvoir participer aux décisions.
C’est précisément ce que souhaitent le Conseil fédéral et l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) en charge du dossier : accepter discrètement les modifications du Règlement sanitaire international. Ainsi, ni le Parlement ni les électeurs n’auraient leur mot à dire.
Préserver la liberté et la souveraineté
L’UDC dit STOP à cette politique sournoise qui porte un grand préjudice à notre liberté et à notre souveraineté. Nous nous défendons en déposant des interventions au Parlement. De plus, nous augmentons la pression avec une pétition en ligne lancée par des citoyens inquiets, qui demande au Conseil fédéral d’exercer son droit d’opposition aux prescriptions de l’OMS. Car ce n’est qu’ainsi que nous pourrons continuer à déterminer nous-mêmes ce qu’est un « état d’urgence » et quelles mesures nous prendrons pour le combattre.
Nous n’acceptons pas les diktats de juges étrangers ou d’organisations internationales. L’UDC défend la souveraineté et l’autonomie de la Suisse.