La situation sécuritaire devient chaque jour plus préoccupante dans nos villes vaudoises. Le deal de rue s’est banalisé. La mendicité organisée prospère. Les habitants, tout comme les commerçants et les travailleurs, en subissent les conséquences au quotidien. Derrière cette insécurité grandissante, il y a des décennies de politique migratoire et sécuritaire laxiste, déconnectée des réalités vécues sur le terrain.
Dans plusieurs villes vaudoises — Lausanne, Vevey, Yverdon — le deal de rue et la mendicité organisée se sont installés durablement. La population vit cette insécurité au quotidien. Ces dérives sont le fruit d’une immigration incontrôlée et d’une politique sécuritaire laxiste menée depuis des années par des autorités trop souvent déconnectées des réalités du terrain.
Le chaos sécuritaire s’installe
Nos policiers, en première ligne, interviennent chaque jour dans un climat de plus en plus tendu. Mais au lieu de recevoir un soutien total, ils sont souvent la cible de soupçons et de mises en cause, parfois même avant toute enquête. L’UDC Vaud réaffirme son soutien sans réserve aux femmes et aux hommes qui assurent notre sécurité.
Donner les moyens d’agir
Au Parlement fédéral, plusieurs interventions ont été déposées par nos élus vaudois pour répondre à cette urgence. Jacques Nicolet a déposé deux objets pour renforcer la lutte contre le trafic de drogue. Michael Buffat a obtenu l’adoption de sa motion permettant à la police des transports de s’équiper de pistolets à impulsion électrique, indispensables pour maîtriser certaines situations sans escalade. Yvan Pahud a rappelé les risques extrêmes auxquels les agents sont confrontés, comme lors de la prise d’otages à Sainte-Croix.
Nos forces de l’ordre doivent pouvoir agir efficacement et sereinement. La présomption d’innocence s’applique aussi aux policiers. Il est temps de mettre fin à la complaisance face aux délinquants et de restaurer l’autorité de l’État. Moins de laxisme, plus de fermeté : la sécurité des Vaudois en dépend.