Trois féminicides out tentatives de féminicides depuis le début de l’année dans notre canton. Cette semaine, une nouvelle bagarre au couteau, un blessé grave et l’identité des auteurs dissimulée. C’est le un nouvel épisode d’une spirale de violence qui semble s’accélérer. Et pourquoi, selon une source anonyme fiable que j’ai pu consulter, l’identité des agresseurs – des Algériens – est-elle cachée ?
Sommes-nous encore capables de dire les choses telles qu’elles sont ? Ou préfère-t-on taire l’origine des auteurs pour éviter de froisser certaines sensibilités ? Quand les autorités choisissent de ne pas communiquer, est-ce vraiment par prudence ou par volonté d’occulter un problème ?
Tant de questions, et si peu de réponses. Un constat toutefois : cette nouvelle agression vient s’ajouter à une liste déjà longue et tragique dans le canton de Fribourg. Trois féminicides ou tentatives de féminicides commis cette année par des immigrés ; aujourd’hui, un blessé grave dans une rixe sanglante. Combien de faits divers faudra-t-il avant que nous posions collectivement la question : comment lutter efficacement contre cette recrudescence de cette violence ?
Le rôle de certaines associations de gauche
Parmi les facteurs du problème, il faut citer le rôle de certaines associations. Celles-ci ne sont-elles pas toujours promptes à banaliser, relativiser et justifier la violence commise par ces auteurs précisément parce qu’elle est commise par des immigrés ? Dernièrement, une association fribourgeoise indiquait qu’il fallait « contrer la stigmatisation » en ignorant l’origine des auteurs de violence, car ces actes trouveraient leur cause dans « le stress induit par la précarité ou lié à un trauma»…
L’homme agressé au couteau par deux Algériens à la gare de Fribourg doit-il tolérer ce type de justification destinée à déresponsabiliser les auteurs ? Et les familles des femmes tuées doivent-elles relativiser la perte de leur proche ?
Cette attitude victimisante doit être dénoncée. L’immigration doit être reprise en main et les criminels étrangers expulsés de Suisse, comme le peuple suisse l’a exigé en 2010. Fribourg est l’un des cantons qui renoncent le plus à l’expulsion de criminels étrangers ! Pourquoi ce principe semble-t-il si difficile à appliquer ? Parce que certaines associations, ainsi que certains milieux étatiques ou paraétatiques, paraissent plus prompts à plaider les circonstances atténuantes des auteurs qu’à défendre les victimes.
Et comment justifier le manque de transparence ?
Enfin, est-il acceptable qu’un citoyen doive s’appuyer sur une source anonyme pour connaître des éléments essentiels d’une affaire publique ? Est-il normal que personne n’ose évoquer aussi les conséquences négatives de l’immigration ?
Je ne suis pas le seul à m’interroger. Nous sommes de plus en plus nombreux à taper du poing sur la table. Pour ma part, la réponse est claire : il faut rétablir des règles strictes et oser dire les choses. Si vous pensez, comme moi, qu’il est temps d’agir, alors signez l’initiative « Stop au chaos de l’asile » et reprenons le contrôle de nos frontières !