Journal du parti Franc-parler juin 2015

Le pétrin de l’asile

La politique d’asile de la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga échappe à tout contrôle.

La politique d’asile de la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga échappe à tout contrôle. Le nombre de demandes d’asile a explosé au mois de mai par rapport à avril, soit plus 60%. On ouvre toujours plus de centres, on place les communes devant le fait accompli et, mois après mois, d’innombrables migrants économiques parviennent à entrer dans notre pays.

Les abus en matière d’asile se multiplient et le pourcentage de personnes qui finissent par rester (réfugiés reconnus et admis provisoires) est passé en un temps record de 15% à plus de 60%. Comme si cela ne suffisait pas, Mme Sommaruga a lancé son programme d’accueil dit humanitaire, consistant à faire entrer des milliers de Syriens en Suisse sans procédure d’asile et à leur octroyer un droit de séjour durable. Il existe des preuves que l’industrie d’asile suisse a introduit sur notre territoire des terroristes. La sécurité de notre pays est donc menacée.

Que faire ?

Il faut à présent un arrêt net, en la forme d’un moratoire pour l’accueil de nouveaux demandeurs d’asile. Jusqu’à nouvel ordre, aucune décision d’asile positive ou admission provisoire ne doit être prononcée. Les requérants qui ne peuvent être immédiatement renvoyés doivent être accueillis comme de simples personnes ayant besoin de protection et qui devront plus tard rentrer chez eux. Il faut cesser l’octroi de visas et l’accueil de réfugiés contingentés. Les demandes de regroupement familial de personnes dans le domaine de l’asile ou de réfugiés reconnus vivant de prestations sociales doivent être refusées. Pour pouvoir le mettre en œuvre, il faudra à nouveau contrôler systématiquement les frontières nous-mêmes, si nécessaire à l’aide de l’armée. Parallèlement, il est nécessaire d’offrir une protection aux réfugiés de guerre dans les régions proches des territoires en guerre. Pour ce faire, l’aide humanitaire doit se voir accorder la priorité dans le budget de l’aide au développement. Un franc est bien mieux utilisé sur place qu’ici en Suisse pour soutenir l’insatiable industrie de l’asile.

Ceux qui voteront UDC en automne veulent moins de requérants d’asile et d’étrangers. Ceux qui votent pour d’autres partis veulent encore plus d’étrangers en Suisse et ouvrent grand les portes !

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par l’auteur
UDC conseiller national (SG)
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