Récemment la tenue de l’assemblée des délégués du premier parti politique de Suisse, l’UDC, a été refusée à Lausanne par des autorités et institutions publiques sous le prétexte cousu de fil blanc…
Interpellation du groupe UDC
Récemment la tenue de l’assemblée des délégués du premier parti politique de Suisse, l’UDC, a été refusée à Lausanne par des autorités et institutions publiques sous le prétexte cousu de fil blanc que la sécurité de la manifestation ne pourrait pas être assurée, bien que les art. 22 et 16 cst. garantissent les droits fondamentaux de la liberté d’opinion et de réunion. Le PS a pourtant pu tenir peu avant son congrès à un des endroits envisagés alors que ce même parti y a mis en question des piliers essentiels de notre Etat. En 2006 déjà, les autorités du canton du Jura ont empêché une assemblée des délégués de l’UDC sur leur territoire et en octobre 2007 l’UDC n’a pas pu tenir une manifestation électorale sur la Place fédérale. Cette liste se prolonge par les événements du dernier weekend de votation: attaques contre le lieu de réunion de l’UDC, contre le secrétariat général de l’UDC et même contre des urnes de votation. Par des actions de ce genre certains milieux tentent régulièrement d’empêcher l’UDC de faire son travail politique et de limiter sa liberté d’expression. Pour garantir la sécurité de rencontres internationales, le Conseil fédéral ne recule cependant ni devant des dispositifs de sécurité coûtant des millions, ni devant des engagements militaires douteux.
Partant de ce qui précède, plusieurs questions urgentes se posent: