Journal du parti Franc-parler Novembre 2025

Accords de l’UE : le PLR renonce à la liberté, l’UDC reste fidèle à la Suisse

Le Conseil fédéral et une majorité politique veulent lier davantage la Suisse à l’Union européenne. Le PLR, autrefois défenseur de la liberté et du fédéralisme, a tristement rejoint cette dérive. Seule l’UDC s’oppose à ce projet dangereux, qui menace nos PME, notre démocratie et notre indépendance.

En soutenant les nouveaux accords européens, le PLR a renoncé à défendre le fédéralisme, l’économie libre et la démocratie directe.

Comment un parti qui se veut libéral peut-il approuver un texte qui impose à la Suisse des règlements étrangers, de nouvelles couches de bureaucratie et une reprise automatique du droit européen ? Ce n’est pas du libéralisme : c’est de la soumission.

Les PME, premières victimes de Bruxelles

Nos petites et moyennes entreprises, cœur battant de notre économie, seraient les premières à souffrir. Les directives européennes, conçues pour les grandes multinationales, alourdiraient la charge administrative et feraient exploser les coûts.

Nos artisans, nos agriculteurs et nos entrepreneurs devraient se plier à des normes venues de Bruxelles, souvent absurdes et déconnectées de la réalité suisse. Pendant que le PLR justifie ce carcan au nom d’une « stabilité européenne », l’UDC, elle, se bat pour que nos PME restent libres d’innover et de travailler selon les règles suisses.

Une démocratie muselée

Ces accords instaureraient la reprise automatique du droit européen, c’est-à-dire que la Suisse serait contrainte d’appliquer les décisions de l’UE sans débat démocratique. Le Parlement serait réduit à un rôle de figurant, et les référendums deviendraient pratiquement impossibles.

Contrairement à ce qu’affirme le Conseil fédéral – et à ce que répète naïvement le PLR – notre démocratie directe serait bel et bien affaiblie. L’UDC est la seule à refuser que notre souveraineté soit sacrifiée sur l’autel du confort politique.

Immigration et dépendance aggravées

Les accords européens prolongeraient la libre circulation des personnes, empêchant toute régulation de l’immigration. Déjà aujourd’hui, la Suisse accueille chaque année l’équivalent d’une ville moyenne, avec des conséquences visibles : loyers qui flambent, infrastructures saturées, pénurie de logements et pression sur nos systèmes sociaux.

Le PLR, qui se prétend proche des milieux économiques, oublie que cette situation pénalise d’abord la classe moyenne et les PME. L’UDC, elle, veut protéger la main-d’œuvre suisse et garantir une immigration maîtrisée, au service du pays et non de Bruxelles.

par l’auteur
UDC conseiller national (NE)
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