Berne en flammes : Tolérance zéro face aux violences d’extrême gauche
Les récents affrontements à Berne ont fait 20 blessés, dont plusieurs policiers, et provoqué des dégâts chiffrés en millions. La complaisance politique envers les milieux extrémistes doit cesser. L’UDC exige des mesures fermes pour garantir la sécurité et la transparence.

Le 26 octobre, Berne a vécu une nuit de chaos. Sous couvert d’une manifestation pro-palestinienne non autorisée, des groupes violents ont affronté la poli ce, incendié du mobilier urbain et détruit des commerces. Vingt personnes ont été blessées, dont plusieurs membres des forces de l’ordre, et les dégâts matériels se chiffrent en millions de francs.
Ces scènes rappellent tristement d’autres débordements survenus à Zurich et Lausanne. Les auteurs ne défendent plus une cause : ils cherchent la confrontation avec l’État. C’est une attaque directe contre notre démocratie.
Il faut agir politiquement
Ces violences d’extrême gauche ne sont pas des accidents isolés : elles s’inscrivent dans une radicalisation continue. Il est urgent que les autorités fédérales et cantonales :
- renforcent la coordination entre
polices cantonales et fedpol pour prévenir les attroupements violents ; - durcissent les sanctions pénales contre les casseurs et récidivistes ;
- et assurent une transparence totale sur les enquêtes en cours, afin que la population sache que la loi s’applique à tous, sans exception.
Une complaisance coupable
Pendant que certains responsables politiques minimisent la gravité de ces actes, les citoyens, eux, paient la facture : en impôts, en peur et en insécurité. L’idéologie du laxisme a mené à cette impunité. Le rôle d’un État n’est pas de comprendre les extrémistes, mais de les neutraliser.
Les violences de Berne sont un signal d’alarme. La Suisse ne doit pas tolérer la dérive violente de mouvements extrémistes de gauche qui prétendent défendre la justice tout en attaquant notre police et nos institutions. Il est temps d’affirmer une politique de tolérance zéro face à ces violences, et de rétablir la confiance dans l’autorité de l’État.


