Ils ne reculent devant rien
Violences, antisémitisme, hostiles à la liberté, antidémocratiques : les grands dangers pour la Suisse viennent de la gauche.

À Londres, plus de 100’000 personnes descendent dans la rue pour protester contre la politique migratoire catastrophique du gouvernement. Les citoyens se défendent.
Chez nous, les Suisses peuvent se défendre grâce aux initiatives populaires et aux référendums et c’est pourquoi nous avons déposé l’initiative pour la protection des frontières contre les abus de l’asile et l’initiative pour la durabilité « Pas de Suisse à 10 millions ». Chez nous, c’est le peuple qui décide. Cela n’existe dans aucun autre pays au monde.
Aujourd’hui, les partisans de l’UE veulent nous priver de ces droits démocratiques via le projet d’accord d’adhésion à l’UE. À l’avenir, la Suisse devrait automatiquement adopter le droit européen et se soumettre à la Cour de justice européenne. L’accord d’adhésion à l’UE mettrait fin à notre démocratie directe.
Violence contre les représentants de l’UDC
Lors des émeutes de migrants à Lausanne, un représentant de l’UDC a été passé à tabac par des extrémistes de gauche et des personnes à la peau foncée. À Zofingen, un député UDC a été roué de coups par un groupe, le laissant dans un état critique. Selon la description des auteurs, ils étaient issus de l’immigration. Aux États-Unis, un célèbre influenceur conservateur et père de famille a été brutalement assassiné. Les prétendus chantres de la tolérance recourent massivement à la violence. Ils ne reculent devant rien.
La gauche occupe des universités pour répandre la haine contre Israël. Leur idole, le conseiller national socialiste Fabian Molina, voulait même un marquage spécial des produits provenant d’Israël dans les magasins ; les jeunes socialistes soutiennent officiellement un mouvement antisémite qui réclame le boycott général des biens et services israéliens.
Violences, antisémitisme, hostiles à la liberté, antidémocratiques : les grands dangers pour la Suisse viennent de la gauche.