Journal du parti Franc-Parler Avril 2025

Succès partiel pour l’UDC : le Conseil national et le Conseil des Etats veulent enfin sévir contre les criminels issus de l’asile

L’UDC a demandé dans plusieurs interventions une tolérance zéro à l’égard des demandeurs d’asile criminels. La protection de la population contre les criminels de l’asile doit être une priorité absolue.

Ma motion « Protéger la population. Limiter systématiquement la liberté de mouvement des requérants d’asile criminels » a trouvé une majorité au Conseil national. Ce que j’ai demandé devrait en fait aller de soi : Les demandeurs d’asile en cours de procédure ou déboutés ainsi que les migrants sans droit de séjour ne doivent plus pouvoir se déplacer librement en Suisse dès qu’une procédure pénale est ouverte contre eux. Ceci par le biais d’un confinement, d’un hébergement dans des centres spéciaux ou d’une surveillance durable jusqu’à l’exécution de la peine et l’expulsion.

Une majorité s’est également dégagée en faveur de l’intervention du conseiller national Pascal Schmid (TG) « Protéger la population. Pas de procédure d’asile ni de droit de rester sur le territoire pour les criminels ». Les demandeurs d’asile, les personnes admises à titre provisoire et les réfugiés qui ont été condamnés pour un crime doivent être systématiquement exclus de la procédure d’asile et leur autorisation de séjour doit leur être retirée. Les interventions identiques d’Esther Friedli (SG) et de Pirmin Schwander (SZ) ont également obtenu une nette majorité au Conseil des Etats.

C’est un petit pas dans la bonne direction. En revanche, le PS, les Verts, les Verts libéraux et une partie du Centre ont empêché la réorientation urgente et nécessaire de la politique d’asile, en rejetant nos interventions « Refouler à la frontière les personnes qui arrivent par des pays tiers sûrs » et « S’inspirer du Danemark et de la Suède pour gérer le regroupement familial dans l’intérêt de la Suisse ».

Le ministre en charge de l’asile, le socialiste Beat Jans, est le premier à refuser le changement de cap urgent et nécessaire de la politique migratoire. Les conséquences de ce refus sont l’augmentation de la criminalité de l’asile et les abus du droit d’asile. Il est donc nécessaire de signer l’initiative « pour la protection des frontières ».

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