Communiqué de presse

Il est temps que le Conseil fédéral agisse contre les étrangers criminels et l’immigration de masse

L’attitude passive du Conseil fédéral par rapport aux étrangers criminels et à l’immigration de masse non contrôlée est de plus en plus intolérable. Les crimes violents de cette semaine à Pfäffikon…

L’attitude passive du Conseil fédéral par rapport aux étrangers criminels et à l’immigration de masse non contrôlée est de plus en plus intolérable. Les crimes violents de cette semaine à Pfäffikon et à Interlaken montrent la nécessité d’agir de toute urgence pour une application rapide de l’initiative sur le renvoi, acceptée par le peuple et les cantons, ainsi que pour reprendre le contrôle de l’émigration. Il est grand temps que la Suisse puisse à nouveau décider librement qui peut venir chez nous et qui ne le peut pas. L’initiative populaire de l’UDC «contre l’immigration de masse» crée les conditions nécessaires pour pouvoir agir dans ce sens. Et l’article sur le renvoi dans la Constitution fédérale garantit que les étrangers criminels doivent quitter le pays. L’UDC thématise les abus avec sa nouvelle campagne d’affichage.

L’UDC ne se laisse pas réduire au silence : elle attire régulièrement l’attention sur les abus. Cela ne plaît pas à tout le monde. Certains journaux refusent de publier les annonces de l’UDC et empêchent ainsi qu’ait lieu un débat public sur la criminalité violente de cette semaine. Ainsi, pour de nombreux médias, l’agression qui a eu lieu à Interlaken a reçu peu d’attention, voire même a été totalement ignorée !

De plus, le Conseil fédéral et les autres partis continuent à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour que l’article constitutionnel sur le renvoi, accepté par le peuple et les cantons ne soit pas appliqué et pour que l’initiative de l’UDC «Contre l’immigration de masse» soit dénigrée. C’est bien la preuve de l’importance de l’engagement de l’UDC contre les étrangers criminels et contre l’immigration de masse.

L’UDC défend les intérêts de la Suisse et de ses citoyennes et citoyens.

Berne, 19 août 2011

 
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