Communiqué de presse

Les partis du centre empêchent l’élimination des abus dans l’assurance-chômage

Aujourd’hui près d’une personne sur deux touchant des prestations de l’assurance-chômage (AC) est un étranger

Aujourd’hui près d’une personne sur deux touchant des prestations de l’assurance-chômage (AC) est un étranger. Un rapport publié la semaine dernière par la Confédération confirme que les immigrants touchent jusqu’à trois plus d’indemnités de chômage que le montant de leurs cotisations AC. Malgré ces faits alarmants, une majorité de centre gauche de la Commission de l’économie du Conseil national a rejeté une intervention parlementaire de l’UDC prévenant les abus commis par les immigrants dans l’assurance chômage. L’annonce faite bruyamment par quelques partis du centre le week-end dernier de vouloir serrer la vis pour les étrangers dans nos institutions sociales est oubliée quelques jours plus tard. Il est évident que ces partis ne veulent ni limiter, ni contrôler l’immigration en Suisse.

L’immigration de masse toujours incontrôlée que subit la Suisse charge de plus en plus nos institutions sociales. La situation s’aggrave notamment pour l’assurance-chômage. Un bénéficiaire sur deux d’indemnités de chômage est étranger. De plus, les immigrants perçoivent, en fonction de leur origine, des prestations de chômage jusqu’à trois fois supérieures au montant des cotisations qu’ils versent. Si la situation devait continuer de se dégrader, les coûts qui en résulteront pour la collectivité exploseront. Les premières victimes seraient les salariés suisses qui cotisent davantage à l’AC qu’ils ne touchent de prestations de chômage. Pour l’UDC, il est évident qu’une personne immigrée récemment pour exercer une activité lucrative et qui a perdu son emploi doit quitter la Suisse. Il est tout aussi logique que pour avoir droit aux prestations de chômage, il faut avoir cotisé suffisamment longtemps.

Le centre gauche croise les bras

Actuellement toute personne qui a cotisé pendant douze mois au moins a droit aux indemnités de chômage. Les immigrants en provenance de l’UE ont de surcroît le droit de porter en compte les cotisations effectuées dans leur pays d’origine à cette durée minimale de 12 mois (principe de la totalisation). C’est dire qu’un citoyen UE peut quasiment encaisser des cotisations de chômage en Suisse dès le premier jour s’il a précédemment travaillé dans l’UE et s’il perd son poste en Suisse après un jour déjà. Un nombre croissant d’étrangers en séjour de courte durée profitent aujourd’hui de cette règlementation injustifiable, ce qui équivaut manifestement à un abus. La limitation des droits aux assurances sociales est aussi un facteur déterminant dans l’effort de réduire l’immigration par la suppression des incitations contre-productives du système actuel. Approuvé par le peuple et les cantons le 9 février 2014, l’article constitutionnel sur la gestion et la limitation de l’immigration prévoit donc explicitement la possibilité de restreindre les droits aux prestations des assurances sociales.

Dans une intervention parlementaire, le groupe UDC proposait donc que la durée de cotisation minimale soit doublée et portée à 24 mois et que ces cotisations doivent être effectuées en Suisse.

La Commission de l’économie et des redevances (CER) du Conseil national a rejeté cette proposition par toutes les voix contre celles de l’UDC. Conclusion: les autres partis acceptent les abus manifestes dans les assurances sociales et refusent de limiter l’immigration.

 
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