Communiqué de presse

Migrants économiques récalcitrants d’Afrique: il faut sévir sans ménagement!

Les cantons annoncent de plus en plus souvent des cas de migrants économiques africains faisant du scandale et provoquant des bagarres. Les autorités doivent intervenir rapidement et sévèrement…

Les cantons annoncent de plus en plus souvent des cas de migrants économiques africains faisant du scandale et provoquant des bagarres. Les autorités doivent intervenir rapidement et sévèrement contre ces individus. Les requérants d’asile récalcitrants doivent immédiatement être placés en détention de préparation et expulsés dans les plus brefs délais. Il faut d’ailleurs stopper à la frontière déjà les migrants économiques. La responsabilité de cette dégradation de la situation incombe à la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga. Son refus de mieux protéger les frontières était une invitation à l’intention des migrants économiques à venir en Suisse.

Les personnes menacées dans leur vie et leur intégrité physique doivent trouver protection en Suisse. Mais les faux réfugiés et les criminels n’ont pas leur place dans notre pays. Ils doivent être immédiatement mis en détention de préparation et expulsés vers leurs pays d’origine. Les autorités doivent émettre un signal clair pour faire comprendre que la Suisse est ouverte aux personnes persécutées, mais qu’elle combat rigoureusement les abus.

L’escalade actuelle de la situation est la conséquence directe de la passivité des autorités fédérales. La principale responsabilité en incombe à la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga qui a permis aux migrants économiques d’entrer en Suisse alors qu’ils n’y ont pas droit. L’UDC a d’emblée mis en garde contre ce développement et exigé que les frontières soient mieux protégées et que le Conseil fédéral insiste sur la stricte application de l’accord de Schengen. Malheureusement, les autres partis ont refusé le 9 juin dernier par 58 voix contre 122 une intervention parlementaire de l’UDC dans ce sens. Nous assistons actuellement aux conséquences de cette passivité du Parlement et du gouvernement. Les migrants y voient une invitation à se presser en Suisse. Les autorités compétentes doivent enfin assumer leurs responsabilités. Il faut désormais agir vigoureusement.

Berne, 22 juin 2011

 
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