Communiqué de presse

Un habitant sur trois de la Suisse vient déjà de l’étranger!

(UDC) La libre circulation des personnes a déclenché durant les sept ans écoulés une vague d’immigration sans précédent en Suisse. Aujourd’hui déjà, les étrangers, naturalisés et frontaliers…

(UDC) La libre circulation des personnes a déclenché durant les sept ans écoulés une vague d’immigration sans précédent en Suisse. Aujourd’hui déjà, les étrangers, naturalisés et frontaliers représentent plus de 32% de la population suisse. Le Conseil fédéral doit enfin stopper cette immigration incontrôlée!

La population étrangère vivant en Suisse a constamment augmenté depuis 2002, année de l’introduction de la libre circulation des personnes. Le nombre d’Allemands résidant dans notre pays a presque doublé. Notamment depuis la levée des contingents en 2007, la Suisse a subi un afflux exceptionnel d’étrangers. Si la libre circulation est maintenue dans sa forme actuelle et, surtout, si elle est étendue à d’autres pays, le plafond des deux millions d’étrangers habitant en Suisse sera crevé en 2013. Aujourd’hui déjà, une personne sur trois habitant ou travaillant en Suisse vient de l’étranger. La capacité d’accueil de notre pays est à bout. Il est grand temps que le gouvernement assume ses responsabilités et mette fin à cette immigration incontrôlée.

Il y a encore d’autres raisons importantes de rejeter le projet de libre circulation des personnes le 8 février 2009:

  • d’une part, l’extension de l’accord de libre circulation aux pays extrêmement pauvres que sont la Roumanie et la Yougoslavie augmentera la pression sur les salaires. La situation sur le marché du travail se tendra surtout au détriment des salariés suisses. Le clivage de prospérité entre la Suisse et les pays de l’UE, tout particulièrement ceux d’Europe centrale et de l’Est, est énorme, si bien que l’extension de la libre circulation des personnes entraînerait un fort nivellement par le bas dans notre pays.
  • d’autre part, l’extension de la libre circulation des personnes entraînera une augmentation de la criminalité par analogie à ce que vivent l’Italie et l’Espagne. Le tourisme criminel des Roms établis dans des camps de l’autre côté des frontières suisses sera facilité et les bandes criminelles organisées d’Europe de l’Est pourront renforcer leurs activités chez nous.

Un non dans l’urne est la seule réponse à donner. Ce « paquet » antidémocratique doit être renvoyé à l’expéditeur afin que nous puissions trouver une meilleure solution. Le Conseil fédéral a la tâche de défendre rigoureusement les intérêts de la Suisse, nos valeurs et notre identité nationale. Un projet qui apporte avant tout des problèmes comme l’augmentation du chômage et de la criminalité doit être catégoriquement refusé!

Berne, 9 janvier 2009

 
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