Cette Suisse dont nous voulons ! De la politique générale sur les points clés de notre ligne et sur nos exigences pour la prochaine législature

Bienvenue dans notre belle Thurgovie ! Je vais aller droit au but : le 22 octobre, nous avons fêté une magnifique victoire électorale et je vous en remercie tous ! Cette fois-ci, la mobilisation a fonctionné et nous avons atteint notre objectif en gagnant environ 100’000 électeurs et électrices supplémentaires. Et ici, un merci particulier à notre chef de campagne Marcel Dettling : Marcel, merci pour ton grand engagement ! Mission accomplie !

Marco Chiesa
Marco Chiesa
Président Ruvigliana (TI)

La raison principale de notre succès électoral : nous, à l’UDC, parlons des thèmes qui préoccupent les gens. Même si ce succès est réjouissant, c’est maintenant que le travail commence vraiment. Nous devons maintenant persévérer et continuer à nous battre. Les électrices et électeurs nous ont donné un mandat clair : ils veulent une autre politique sur des questions centrales. Ils en ont assez du chaos de la gauche rose-verte matière d’asile, de sa politique migratoire hors de contrôle, de son hystérie climatique et de sa culture de l’interdit. Nous devons mettre en œuvre ce mandat des électeurs de toutes nos forces !

Nous avons reçu le mandat clair de continuer à écrire l’histoire du succès de la Suisse. Dans aucun autre pays au monde, les citoyens ne disposent d’autant de liberté, d’autodétermination, de sécurité et de prospérité qu’en Suisse. Cela s’explique par notre démocratie directe, notre fédéralisme, notre neutralité et notre indépendance.

Mais ces atouts éprouvés ne vont pas de soi. Ils sont régulièrement mis sous pression. C’est pourquoi nous devons toujours revenir à nos valeurs et les défendre. Quelle Suisse voulons-nous ? Les électeurs l’ont clairement montré en soutenant massivement l’UDC :

  • Nous voulons une Suisse indépendante et neutre. Nous ne voulons pas d’un traité de soumission avec l’UE, ni de juges étrangers.
  • Nous ne voulons pas d’une Suisse à 10 millions d’habitants. Nous voulons gérer nous-mêmes l’immigration et continuer à vivre dans une patrie belle et intacte.
  • Nous voulons mettre fin au chaos de l’asile. Nous voulons expulser systématiquement les étrangers criminels.
  • Nous voulons moins d’impôts, de taxes et de redevances. Celui qui travaille dur doit avoir plus d’argent dans son porte-monnaie. Nous voulons un État allégé et non une administration gourmande.
  • Nous voulons plus de liberté et plus de prospérité. Nous ne voulons pas de nouvelles lois, interdictions et réglementations.
  • Nous ne voulons pas d’infiltration de la société par la gauche rose-verte, que ce soit par des collés climatiques, la terreur du genre ou encore la culture de l’interdit.

Chers délégués, grâce au succès électoral de l’UDC, le camp bourgeois s’est renforcé. La gauche rose-verte s’est affaibli et il s’agit là aussi d’un signal clair : les électeurs en ont assez des idéologies, assez des rêveries coûteuses. Ils veulent une politique réaliste, raisonnable et proche du terrain. C’est ce que représente l’UDC.

C’est uniquement grâce à l’UDC que la Suisse a enterré l’accord institutionnel avec l’UE. Mais attention : les autres partis veulent toujours s’accommoder de l’UE. Seule l’UDC s’engage résolument pour les intérêts de la Suisse. Nous combattrons tout rattachement à l’UE ou à l’OTAN. Il ne doit pas y avoir d’adhésion rampante à l’UE, car un pays qui remet son destin entre les mains de bureaucrates ou de généraux étrangers met ses citoyens sous tutelle. Nous disons NON au bradage de notre patrie !

L’UDC s’engage résolument – et pas seulement dans la campagne électorale – en faveur de la neutralité perpétuelle, armée et intégrale. Elle a garanti la sécurité et la prospérité de notre pays au cours des 200 dernières années et c’est précisément en temps de guerre que la neutralité est plus importante que jamais. C’est pourquoi nous soutenons l’initiative sur la neutralité. C’est pourquoi nous refusons tout rapprochement avec l’OTAN, le pacte de l’ONU sur les migrations et le pacte de pandémie de l’OMS. La Suisse ne doit pas s’engager dans des liens de droit international qui portent atteinte à notre souveraineté.

Mesdames et Messieurs, nous voulons une Suisse libre et sûre. C’est pourquoi nous avons enfin besoin de retrouver une armée suffisamment équipée. Nous devons nous assurer par tous les moyens que nous pouvons à nouveau nous défendre nous-mêmes.

La préservation et le renforcement de l’indépendance, de la liberté et de la sécurité passent également par un approvisionnement du pays toujours sûr. Nous avons besoin d’une énergie abordable et disponible à tout moment. La production agricole ne doit pas être entravée par des réglementations et une bureaucratie excessive de gauche rose-verte. Le taux d’autosuffisance doit être augmenté. Nous renforcerons en outre notre indépendance économique par de nouveaux accords de libre-échange.

L’autodétermination et la responsabilité individuelle sont des facteurs de succès importants pour la Suisse. Nous devons renforcer ces valeurs, notamment dans le domaine des retraites, des assurances sociales et de la santé. Les coûts des primes d’assurance maladie ne doivent plus augmenter. De nombreux salariés ordinaires et de nombreuses familles ne peuvent plus payer les primes. Aujourd’hui, ce sont les contribuables qui doivent payer. Nous devons mettre fin à cette redistribution de la gauche rose-verte. Il faut créer une « caisse maladie light » pour les demandeurs d’asile et les personnes dont le droit de séjour n’a pas été clarifié. Il est inadmissible que nous soyons arnaqués par des personnes qui n’ont jamais versé un franc.

L’explosion des dépenses sociales doit être stoppée à tous les niveaux. L’immigration vers nos systèmes sociaux doit cesser. L’accès des immigrés à notre système de santé doit être limité. Nous devons mener un débat sur des forfaits d’immigration couvrant les coûts. Dans le tourisme, nous connaissons les taxes de séjour. Imposons donc une « taxe de séjour » aux immigrés !

Chers délégués, chers amis de l’UDC, c’est tout simplement un fait – et les résultats des élections le confirment : presque tous les problèmes que nous rencontrons aujourd’hui dans notre pays sont dus à une immigration démesurée. Aujourd’hui, trop d’étrangers viennent en Suisse et pas les bons. Nous voulons une immigration qui profite à la Suisse et non qui lui porte préjudice. Avec l’initiative populaire « Pas de Suisse à 10 millions », nous protégeons notre pays, notre population, nos ressources naturelles. C’est une véritable politique durable ! Et non pas la politique mensongère de la gauche rose-verte, qui se plaint de la « pénurie de logements », mais passe sous silence le facteur le plus important : l’immigration démesurée.

Le chaos de l’asile doit être stoppé d’urgence. Plus de 129’000 personnes se trouvent actuellement dans le processus d’asile ! Et pourtant, la plupart de ces demandeurs d’asile ne sont pas des réfugiés ! Les électeurs ne veulent pas de cela. Ils ne veulent pas non plus de la situation à Chiasso avec des cambriolages, des vols, du harcèlement. Où une jeune fille mineure est traînée dans des toilettes à 7 heures du matin dans un train et agressée sexuellement ! Que voulons-nous ? Nous voulons un arrêt de l’asile. Les demandes d’asile ne doivent plus être traitées que dans des zones de transit en dehors de la Suisse. Toute personne séjournant illégalement en Suisse doit quitter le pays. Les Etats qui refusent de reprendre les personnes déboutées ne doivent plus recevoir d’aide au développement de la part des contribuables suisses.

L’explosion de la criminalité étrangère est un autre problème que nous devons résoudre. La tâche principale de l’État est de garantir la sécurité de ses citoyens. Les étrangers qui deviennent criminels et abusent de notre droit d’accueil doivent être expulsés de manière conséquente et c’est aussi la volonté du peuple ; elle doit enfin être mise en œuvre. Les parlementaires qui refusent de le faire ne sont pas des représentants du peuple, mais des traîtres à la nation !

Afin de préserver notre sécurité et d’empêcher les abus en matière d’asile, nous devons également réintroduire des contrôles systématiques aux frontières. Les accords de Dublin doivent enfin s’appliquer non seulement sur le papier, mais aussi sur le terrain. Un demandeur d’asile qui arrive d’Italie par voie terrestre et dépose une demande à Chiasso ne devrait même pas exister, selon ces accords, mais c’est malheureusement le quotidien dans la pratique.

Chers délégués, chère famille de l’UDC, la majorité de centre-gauche de ces 4 dernières années a été désastreuse. Elle a affaibli tout ce qui fait le succès de la Suisse. Le temps est venu de corriger le tir. Finies les expériences idéologiques ! Finies les utopies coûteuses !

Les électeurs veulent une politique réaliste. Ils veulent vivre librement, en sécurité et dans la prospérité. Ils veulent une Suisse neutre, indépendante et autonome. C’est exactement ce que défend l’UDC. C’est exactement pour cela que nous nous engageons, pour un avenir sûr et libre. Mettons-nous au travail !

Merci !

Marco Chiesa
Marco Chiesa
Président Ruvigliana (TI)
 
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