La politique migratoire de la gauche détruit la Suisse ; il faut maintenant une résistance politique

Il y a quelques semaines, l’UDC Suisse a tenu une conférence de presse pour faire le point sur les 200 jours de Beat Jans comme ministre de l’Asile. 200 jours d’annonces vides de sens. Beat Jans poursuit sans interruption le chaos de l’asile de sa prédécesseuse et collègue de parti socialiste Elisabeth Baume-Schneider. Beat Jans ne peut pas le faire… Pire encore : il ne veut pas le faire.

Marcel Dettling
Marcel Dettling
conseiller national Oberiberg (SZ)

Nous avons tenu la conférence de presse à Giffers (Guglera), un endroit idyllique dans le district fribourgeois de la Singine. C’était une magnifique journée d’été. Pourquoi à Giffers ? Parce qu’un centre fédéral d’asile s’y trouve depuis plusieurs années, contre la volonté de la population. C’est typique : les citadins de gauche rose-verte laissent entrer chaque année des dizaines de milliers de migrants en quête d’asile en Suisse et la population rurale, qui ne veut pas de cette immigration illégale, doit en assumer les conséquences.

La situation à Giffers a pris une ampleur insupportable pour la population locale : Augmentation massive des cambriolages, des vols et des actes de violence. Les jeunes filles n’osent plus prendre les transports en commun. Les demandeurs d’asile pénètrent dans les maisons, les appartements et les magasins. Les vulgarités, le harcèlement et les interventions de la police sont monnaie courante.

Sur le chemin de Giffers, j’ai traversé plusieurs localités, dont le quartier de Mariahilf. Lorsque j’ai vu le panneau, je me suis dit que les Fribourgeois le savaient depuis longtemps : on ne peut pas compter sur la Berne fédérale. Les Fribourgeois espèrent que le soutien viendra d’en haut. Car Beat Jans n’aide pas.

Mesdames et Messieurs, la politique migratoire de la gauche détruit la Suisse ; il faut maintenant une résistance politique !

Nous avons perdu le contrôle de nos frontières. Nous ne savons plus qui entre dans notre pays. Les frontières suisses ne sont plus protégées. Ce n’est pas nous qui décidons qui vient en Suisse, mais des passeurs criminels.

On nous impose une immigration dont nous ne voulons pas, qui nuit à notre pays, qui met en danger notre cohabitation, qui détruit notre sécurité et qui coûte des milliards de francs d’impôts.

Des milliards de francs pour un système d’asile malade
La Confédération à elle seule dépense désormais 3.5 milliards de francs pour le domaine de l’asile. En 2021, elle était encore de 1.5 milliard. Mais personne ne sait à combien s’élèvent réellement les dépenses dans les cantons et les communes. Enfin… disons-le plutôt, les partis de centre-gauche ne veulent pas le savoir.

Saviez-vous qu’un bénéficiaire de l’aide sociale sur trois – je répète : un sur trois – en Suisse est un demandeur d’asile ?

Concrètement, cela signifie que les contribuables leur financent la subsistance générale (nourriture, boissons, vêtements, tabac, abonnements aux transports publics, Internet, radio/TV, activités de loisirs, etc.), les frais de logement sont également pris en charge, ainsi que toutes les cotisations de sécurité sociale. A cela s’ajoutent d’autres dépenses pour les meubles, les fournitures scolaires, les articles pour bébé, les frais d’avocat, les taxes, les lunettes, l’assurance ménage et responsabilité civile, les frais de dentiste, etc.

Les familles suisses souffrent des primes d’assurance maladie élevées pendant que les demandeurs d’asile se font tout payer, y compris les primes d’assurance maladie. La gauche rose-verte détruit notre système de santé : depuis l’an 2000, un demi-million de migrants en quête d’asile sont arrivés en Suisse et n’ont pas versé un franc dans notre système de santé, profitant dès le premier jour de nos soins de santé cinq étoiles. Et nous nous étonnons ensuite que les primes d’assurance maladie explosent ?

En 2023, les délits commis par les demandeurs d’asile ont augmenté de plus de 50%. Combien nous coûtent, à nous contribuables, les poursuites pénales contre ces demandeurs d’asile qui viennent soi-disant chercher protection chez nous ? J’ose une estimation : des centaines de millions de francs chaque année !

Chasse à l’argent des contribuables
Avez-vous entendu parler du cas de ce jeune Afghan de 16 ans ? Il a attaqué un magasin Migros à Kollbrunn (ZH). A coups de poing et de pied, il a ouvert la caisse en présence de la vendeuse. Une cliente a filmé le braquage. L’auteur est un demandeur d’asile, un « demandeur de protection ». Il a été pris sur le fait. Que va-t-il se passer ? Rien du tout. Personne ne sera expulsé vers l’Afghanistan. Il est mineur et va maintenant bénéficier de l’industrie suisse de la prise en charge. Financé par l’argent de nos impôts. Travaillera-t-il un jour correctement ? Il est peu probable. Après quelques années, il obtient un permis d’établissement plus une aide sociale. Il disparaîtra alors des statistiques de l’asile mais pas de l’État social suisse. Cela ne peut pas continuer ainsi, Mesdames et Messieurs.

Combien nous coûte réellement le chaos de l’asile ? 5 milliards de francs par an ? 6 milliards ? Dans le même temps, la Confédération manque d’argent. Maintenant, la chasse est ouverte. Tous les pourboires doivent être taxés. On s’en prend justement aux serveurs et serveuses, aux coiffeurs et autres professions de service. L’État veut ponctionner les employés à bas revenus pour subvenir aux besoins des migrants demandeurs d’asile. C’est une honte.

Bombe sociale à retardement
Le chaos de l’asile est une bombe sociale à retardement. Trop de demandeurs d’asile sont issus de cultures qui méprisent les femmes, sont criminels et peu ou pas formés.

De plus, la majorité des demandeurs d’asile n’ont pas de papiers d’identité, ce qui signifie que les autorités ne savent même pas qui entre dans le pays. Ces migrants ont-ils un passé terroriste ou criminel ? Personne ne le sait. Ce que l’on peut dire : Ce sont majoritairement des jeunes hommes musulmans du monde entier qui arrivent chez nous et il est tout à fait naïf de croire que ces migrants venus d’Afrique, d’Afghanistan, de Syrie, etc. n’apportent pas leurs problèmes chez nous.

Ce chaos du centre-gauche en matière d’asile est un risque pour la sécurité de la population suisse. La coalition de centre-gauche des dissimulateurs et des enjoliveurs de chiffres met en danger la cohabitation dans notre pays.

Faut-il être aveugle ? Regardons en France, en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne et nous saurons où mène cette immigration illégale de masse. L’intégration a échoué depuis longtemps. L’État perd le contrôle. Des sociétés parallèles se forment. La propre population risque de devenir une minorité. Nous ne pouvons pas accepter cela.

Nous avons un double État de droit en Suisse
Si vous vous déplacez sans billet dans les CFF, c’est votre tour : amende et saisie des données personnelles. Que se passe-t-il pour les demandeurs d’asile qui resquillent ? Rien du tout. Il n’y a rien à récupérer. En fait, tout requérant d’asile est stupide s’il achète un billet.

Le problème, c’est que nous avons un double État de droit en Suisse.

Nous avons un État de droit fort lorsqu’il s’agit de nous, les Suisses. Malheur à celui qui gare mal sa voiture ! Malheur à celui qui roule trop vite ! Malheur à celui qui ne paie pas ses impôts ! En revanche, nous avons un État de droit faible lorsqu’il s’agit de migrants d’asile illégaux et d’étrangers criminels.

Le ministre de la Justice Beat Jans répond alors : « Non, nous ne pouvons pas protéger les frontières suisses de manière autonome. » On laisse simplement l’immigration illégale se produire. Les étrangers criminels ne sont pas expulsés – bien que la population suisse l’ait souhaité ! Les migrants en quête d’asile qui arrivent en Suisse avec des bandes de passeurs ne sont pas renvoyés dans leur pays d’origine. Ils restent simplement ici – à nos frais.

Nous avons un déséquilibre total en ce qui concerne l’État de droit. C’est dangereux. Les gens en Suisse perdent leur confiance dans l’État, qui devrait veiller à l’ordre et à la justice.

Nous devons rétablir l’État de droit
Chers délégués de l’UDC : nous devons rétablir l’État de droit suisse ! Puisque les autres partis au Parlement empêchent nos solutions, c’est maintenant à la population de dire son mot. Pour cela, notre initiative populaire pour la protection des frontières est plus que jamais nécessaire.

Le mandat est clair : nous devons protéger la Suisse et stopper la migration criminelle liée à l’asile. Et je vous demande de vous battre pour cette initiative. En protégeant nos frontières, nous protégeons notre patrie. Personne ne doit rentrer chez lui aujourd’hui sans avoir signé l’initiative et emporté au moins 2 autres feuilles de signatures pour sa famille et ses voisins.

Nous devons protéger la population suisse contre l’immigration illégale liée à l’asile et contre les politiciens qui autorisent et même encouragent cette situation !

Marcel Dettling
Marcel Dettling
conseiller national Oberiberg (SZ)
 
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