Nous nous engageons pour une formation solide et une authentique liberté de choix pour les femmes et les familles

La politique de formation et la politique familiale sont deux points importants des objectifs du groupe parlementaire fédéral UDC pour la législature en cours. Un système de formation efficace est en effet à la base du développement et de la prospérité de la Suisse. Voilà pourquoi l’UDC s’engage en faveur d’une instruction publique de qualité, performante et axée sur la pratique. Pilier porteur de la société, la famille a, selon l’UDC, besoin de grands espaces de liberté et d’une authentique liberté de choix pour les femmes et les hommes. Les interventions de l’Etat doivent être réduites au minimum.

Monika Rüegger
Monika Rüegger
conseillère nationale Engelberg (OW)

L’UDC s’engage également durant cette législature pour les femmes, les familles et la formation des enfants et adolescents. Plus que jamais, il s’agira après la pandémie de Covid-19 d’offrir des perspectives aux jeunes, aux diplômés sortant des écoles et des apprentissages, aux jeunes professionnels d’une manière générale. Un système d’éducation de qualité, efficace et axé sur les performances est essentiel à cet effet. L’école doit à nouveau s’orienter en fonction de la vie pratique. C’est dire que le lien entre l’économie et l’instruction publique doit être raffermi. Un soutien ciblé au système de formation dual permet de revaloriser l’apprentissage professionnel.

Nos enfants ont le droit d’exiger que l’école obligatoire leur dispense des connaissances. Il faut donc leur offrir une instruction solide qui met l’accent sur les sciences naturelles et les langues. Seul un transfert de connaissances efficace donne aux enfants la chance de profiter d’une solide formation – et cela non seulement dans la perspective de la voie universitaire.

80% des jeunes sortant de l’école obligatoire choisissent en effet un apprentissage professionnel – une proportion unique au monde et un important aspect du modèle à succès suisse. Ce n’est pas par hasard que la Suisse affiche le taux de chômage le plus bas chez les jeunes adultes qui sont impliqués très tôt dans le monde du travail. Les spécialistes les mieux formés de tous les groupes professionnels proviennent de Suisse. Preuves en sont les championnats professionnels mondiaux « World Skills »: dans cette concurrence réunissant 63 pays, la Suisse a obtenu en 2019 le troisième rang derrière la Chine et la Corée. Les concurrents helvétiques ont remporté 16 médailles au total. Mais ces succès internationaux ne suffisent pas. Trop souvent en effet les écoles professionnelles doivent combler les lacunes de l’instruction donnée à l’école obligatoire.

Nos enfants ont besoin d’instruction et non pas de thérapie

De plus en plus souvent l’école obligatoire enseigne des théories hostiles à l’économie, des idées écolo-gauchistes sur l’environnement et le climat dont la cible est notamment notre agriculture productrice et travaillant selon les règles de l’économie de marché. Le but de cette mise sous tutelle est de diriger les habitudes de consommation des enfants. Or, nos enfants ont uniquement besoin d’un enseignement « normal ». Ils ne sont pas malades. Il n’est absolument pas nécessaire de constamment les soigner, les soumettre à des thérapies, les rediriger, leur inculquer la théorie des genres, les sexualiser ou encore les paniquer par des affirmations aussi infondées qu’exagérées sur le climat.

La famille joue un rôle essentiel dans la formation équilibrée et différenciée des opinions dans l’enfance. L’UDC s’oppose à toute étatisation de l’éducation des enfants. La famille et le travail en famille doivent être revalorisés.

Les familles qui assument la responsabilité de la garde de leurs enfants et qui coûtent donc beaucoup moins à l’Etat subissent aujourd’hui des discriminations fiscales et sont mises à l’écart de la société. Ces familles financent avec leurs impôts les institutions de garde des enfants dont profitent les autres familles. Tous les autres partis, de la gauche écologiste jusqu’au PLR, favorisent les modèles familiaux « enfants de l’Etat/femmes professionnelles » avec une garde des enfants financée par l’Etat.

L’UDC ne préfère ni la garde extrafamiliale des enfants, ni la garde des enfants à l’intérieur de la famille. Elle s’engage en revanche à offrir une authentique liberté de choix aux femmes et aux familles.

L’UDC s’oppose à la constante extension de l’Etat social. Elle s’engage pour le peuple, pour les citoyennes et les citoyens, pour les valeurs bourgeoises, pour la responsabilité individuelle et la liberté.

Parmi les thématiques de la formation et de la vie sociale, l’UDC et ses groupes d’experts réfléchiront notamment sur les sujets suivants:

  1. Perspectives pour les jeunes – la formation et la profession doivent harmoniser
  2. Libre choix de l’organisation familiale – mais non à la mise sous tutelle par l’état, non à une politique privilégiant un modèle et non à la discrimination fiscale.
Monika Rüegger
Monika Rüegger
conseillère nationale Engelberg (OW)
 
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