Session

Session spéciale 2021

Rétrospective de la session spéciale 2021

Positif

L’UDC veut la transparence sur les coûts de la loi CO2

21.3515 Propagande d’Etat de la Conseillère fédérale Sommaruga

Le Conseil fédéral doit enfin annoncer la couleur et publier les vrais coûts de la loi CO2. Malheureusement, la Conseillère fédérale Sommaruga préfère la propagande d’Etat et sous-estime les coûts vers le bas. Sur quelles données se base le Conseil fédéral lorsqu’il prétend qu’une famille de quatre personnes ne devra payer que cent francs de plus par année ? Avec plus d’un franc de taxes et impôts par litre d’essence, le doublement de la taxe CO2 sur l’huile de chauffage et le gaz et l’introduction d’une nouvelle perception sur les billets d’avion, une famille de quatre personnes sera imposée annuellement de plus de mille francs supplémentaires !

L’UDC exige la fin des pleins pouvoirs exceptionnels du Conseil fédéral

21.3157 Covid-19. Mettre fin immédiatement à la situation particulière au sens de l’article 6 LEp
21.3441 Covid-19. Mettre fin immédiatement à la situation particulière au sens de l’article 6 LEp

L’UDC a déposé deux motions identiques au Conseil national et au Conseil des Etats pour demander la fin de la situation spéciale selon la loi sur les épidémies et donner un sens aux sessions extraordinaires. La loi sur les épidémies permet au Conseil fédéral d’exercer des compétences supplémentaires dès lors qu’il fait valoir la nécessité subjective d’un besoin de limiter la vie économique et sociale. Ainsi, des événements médiatiques bien orchestrés sont organisés en l’absence du peuple et du parlement pour annoncer de petits pas vers la réouverture au compte-gouttes. La session extraordinaire doit permettre de rétablir les processus de décision habituels et de faire en sorte que le peuple et le parlement – dont pas seulement le Conseil fédéral – décident d’éventuelles restrictions à la vie sociale et économique.

Meilleure identification de l’origine des requérants d’asile

17.423 Iv. Pa. Rutz Gregor. Obligation de collaborer à la procédure d’asile. Possibilité de contrôler les téléphones mobiles

Le Conseil national a fait un pas en avant en matière de détermination de l’origine des requérants d’asile. Si un candidat à l’asile refuse de dire d’où il vient, le Conseil national estime que les autorités doivent pouvoir en dernier recours utiliser les données enregistrées sur le téléphone mobile et l’ordinateur du migrant. La loi sur l’asile doit être modifiée en conséquence pour que l’on puisse plus facilement déterminer l’identité des requérants.

La production de sucre suisse sera encore soutenue par des contributions de superficie

15. 479 Iv. Pa. Bourgeois Jacques. Stop au bradage ruineux du sucre ! Pour la sauvegarde de l’économie sucrière indigène

Ces dernières années, la production sucrière suisse a toujours plus été mise sous pression par les importations de sucre européen bon marché. Le Conseil national a pris les choses en main et décidé de maintenir la contribution annuelle de 2’100 francs par hectare de betterave sucrière cultivée. Elle a complété cette contribution par un supplément de 200 francs pour les betteraves cultivées en bio ou selon les directives d’IP Suisse. La protection à la frontière de 70 francs par tonne de sucre reste également inchangée. Ce règlement doit rester en vigueur au moins jusqu’en 2026. Avec ce règlement, le Conseil national apporte une contribution importante à la sécurité de l’approvisionnement de notre pays.

Poursuivre les criminels grâce à des tests ADN

20.088 Loi sur les profils d’ADN. Modification

La majorité du Conseil national s’est engagée contre la gauche écologiste au sujet de modification de la loi sur les profils d’ADN. Ces modifications légales permettront d’obtenir des caractéristiques externes (couleur des yeux, des cheveux et de la peau, continent d’origine et âge) des criminels sur la base des traces d’ADN laissées sur le lieu de commission de l’acte. L’utilisation de ces informations permettra de faciliter l’identification des auteurs d’infractions graves. La gauche a tenté jusqu’au bout d’affaiblir cette loi.

Encore plus d’immigration à cause de l’allègement du contingentement des Etats tiers

19.3882 Autorisation de séjour pour les Etats tiers. Adapter le système aux besoins des secteurs de pointe

La majorité du Conseil national souhaite ouvrir encore les vannes de l’immigration. Il veut ainsi assouplir le contingent d’immigrants issus d’Etats hors UE, actuellement fixé à 8’500 personnes par an, afin que plus de personnes puissent immigrer depuis des Etats tels que la Chine, l’Inde ou les Etats-Unis. L’UDC s’est opposée en bloc à cette nouvelle extension des critères d’immigration. Après tout, il y a 7 ans, le peuple a adopté l’initiative sur l’immigration de masse. L’art. 121a de la Constitution fédérale n’a toujours pas été mis en œuvre : « La Suisse gère de manière autonome l’immigration des étrangers. Le nombre des autorisations délivrées pour le séjour des étrangers en Suisse est limité par des plafonds et des contingents annuels ». Avec ce nouvel assouplissement des conditions d’immigration pour les ressortissants d’Etats tiers, la gauche écologistes s’assied sur la volonté populaire – avec le soutien amical du PLR et du « centre ».

L’argent de l’aide sociale continue de couler pour les djihadistes

19.3598 Accès facile à l’aide sociale pour les djihadistes. La coupe est pleine !

En rendant plus difficile l’accès des potentiels djihadistes aux prestations sociales, on rend la Suisse moins attractive pour les islamistes. Environ 40% des individus radicalisés présents en Suisse touchent l’aide sociale, y compris l’aide pour réfugiés. Sous couvert de protection contre les discriminations, ces payements faits à des islamistes ont toujours eu lieu et ont indirectement financé des activités terroristes. Les autres partis n’ont pas suivi l’appel de l’UDC et se sont prononcés pour le maintien de l’aide sociale pour des djihadistes potentiels. La gauche écologiste, le centre et le PLR ont par la même occasion montré une fois encore leur tolérance mal placée à l’égard des islamistes !

Les autres partis financent le séjour luxueux des étrangers dans les prisons suisses

19.3758 Le Conseil fédéral est chargé de créer les bases juridiques nécessaires pour que les criminels et les délinquants violents, étrangers et condamnés par un jugement entré en force purgent leur peine obligatoirement dans leur pays d’origine

Les prisons suisses disposent, en comparaison internationale, d’un niveau de confort élevé. 70% de leurs places sont occupées par des détenus issus de l’immigration, qui bénéficient par ailleurs de la possibilité d’obtenir un revenu durant l’exécution de leur peine. Avec un coût journalier de 580 à 1’600 francs, le contribuable passe à la caisse pour ces mesures somptuaires. Un transfert des criminels étrangers dans leur pays d’origine permettrait de remédier à cette situation. Les prisonniers devraient purger leur peine là d’où ils viennent. Cela aurait également un effet dissuasif. Malheureusement, les autres partis n’ont pas soutenu l’UDC dans cette démarche.

 
Nous utilisons des cookies pour personnaliser le contenu et les publicités, proposer des fonctionnalités pour les médias sociaux et pour analyser l'accès à notre site. Nous fournissons également des informations sur l'utilisation de notre site Web à nos partenaires des médias sociaux, de la publicité et de l’analyse.Voir les détails Voir les détails
Je suis d'accord