Même en tant que parti d’opposition, l’UDC maintient ses revendications de principe concernant la politique européenne: l’adhésion à l’UE n’est pas une option pour la Suisse. Ce choix serait en claire opposition avec les piliers essentiels de la Confédération suisse, soit en particulier la souveraineté, la neutralité, la démocratie directe et le fédéralisme…
Adoption d’un catalogue de revendications concernant l’UE
Même en tant que parti d’opposition, l’UDC maintient ses revendications de principe concernant la politique européenne: l’adhésion à l’UE n’est pas une option pour la Suisse. Ce choix serait en claire opposition avec les piliers essentiels de la Confédération suisse, soit en particulier la souveraineté, la neutralité, la démocratie directe et le fédéralisme.
Les délégués décident avec une seule voix d’opposition d’apporter leur soutien au catalogue de revendications UE qui se décline en 12 points.
Décision concernant la révision des statuts
L’assemblée des délégués approuve avec deux voix d’opposition la révision des statuts, donc la nouvelle structure de la direction du parti.
Election de la nouvelle direction du parti
Les délégués élisent les cinq vice-présidents du parti, soit Adrian Amstutz (BE), Christoph Blocher (ZH), Walter Frey (ZH), Jasmin Hutter (SG) et Yvan Perrin (NE) ainsi que le nouveau président Toni Brunner (SG). Le président du groupe parlementaire fédéral, Caspar Baader, siège d’office à la direction du parti.