Journal du parti Franc-parler avril 2023

Les locataires suisses dehors, les profiteurs de l’asile dedans

Ce que la Suisse a vécu en 2022 en matière d’immigration et de demandes d’asile bat tous les records et, dans une fuite en avant dévastatrice, se poursuit cette année. Il faut y mettre un terme net et précis avant que toutes les frontières ne soient tombées

La Suisse fait face à une véritable invasion ! Plus de 188’000 personnes, donc presque l’équivalent de la ville de Genève, dont 88’699 immigrés « économiques », sont arrivées en Suisse sans que personne ne les arrête. En plus des 74’959 Ukrainiens, 24’511 autres « réfugiés » sont entrés et sont restés en Suisse dans le cadre de l’asile.

Il s’agit pour la plupart de personnes qui ne sont pas menacées dans leur vie ou leur intégrité physique, mais qui sont venues chez nous en tant que simples réfugiés économiques via plusieurs pays tiers sûrs. Ils choisissent donc leur pays de destination « à la carte », en fonction de la meilleure prise en charge sociale possible.

Les autorités alimentent la haine contre les immigrés
Rien que pour les nouveaux immigrés en 2022, il faudra trouver plus de 80’000 logements. Or, en 2021, 48’000 logements « seulement » ont été construits en Suisse. Cela représente 7,4% de moins qu’en 2020 – et la tendance est à la baisse en raison de la rareté et donc du coût élevé des terrains à bâtir.

Les autorités politiques semblent totalement dépassées. Et pour cause : au lieu de dénoncer la politique de la nouvelle conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider et d’y mettre un terme, on se rend complice de cette politique et on invoque le droit d’urgence pour réquisitionner des bâtiments. Cela a pour conséquence que les locataires suisses sont sommés de partir et doivent déménager de force pour que les profiteurs de l’asile puissent s’installer dans leur logement ! Outre le fait que les personnes expulsées de leur logement doivent elles aussi avoir un toit, on attise en fait une véritable haine envers les immigrés. Cela conduira tôt ou tard à des tensions sociales massives avec les conséquences que cela implique.

Nos enfants sont les laissés-pour-compte
En plus de l’Ukraine, l’Afghanistan, la Turquie et l’Érythrée sont les pays dont les ressortissants sont les plus représentés dans nos structures d’asile. Il est donc facile de prédire que notre système social et nos écoles vont bientôt s’effondrer, car la capacité de ces ressortissants à s’intégrer le monde du travail est quasi nulle. Ce sont nos enfants qui en pâtiront – ils sont les laissés-pour-compte d’un jeu malsain et ils sont privés de toute chance de recevoir une éducation digne de ce nom !

La Suisse ne peut plus se permettre une immigration aussi démesurée, et ce pour une multitude de motifs. Top d’immigrés viennent en Suisse et ce sont les mauvaises personnes qui arrivent : nous devons stopper l’invasion maintenant !

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par l’auteur
UDC conseiller national (GE)
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