Communiqué de presse

L’UDC demande des mesures dans les cantons

L’objet de la rencontre d’aujourd’hui entre la présidence de l’UDC Suisse et les présidents des groupes parlementaires cantonaux UDC est le dépôt de nouvelles interventions parlementaires…

(UDC) L’objet de la rencontre d’aujourd’hui entre la présidence de l’UDC Suisse et les présidents des groupes parlementaires cantonaux UDC est le dépôt de nouvelles interventions parlementaires concernant la politique d’asile et des étrangers. Les mesures demandées concernent surtout la violence des jeunes dans les écoles et d’autres lieux publics, les revendications à motivation religieuse concernant l’enseignement, les mesures scolaires spéciales ainsi que la dépendance des étrangers de l’assistance publique.

Présenté lundi, le document stratégique de l’UDC concernant la politique d’asile et des étrangers ainsi que les propositions qui peuvent en être déduites pour les parlements cantonaux et communaux sont les principaux thèmes de la réunion d’aujourd’hui des dirigeants de l’UDC Suisse avec les présidents des groupes parlementaires cantonaux UDC. Des interventions ayant déjà été déposées au niveau fédéral, il s’agit maintenant d’étendre cette action aux cantons.

Les cantons et les communes sont particulièrement touchés par les effets négatifs d’une immigration croissante en provenance de cultures lointaines. On en ressent des répercussions dans presque tous les domaines de la vie (école, travail, société, famille, religion, sécurité). Les finances publiques en souffrent également. Il est grand temps de serrer les boulons dans ce domaine si on ne veut pas définitivement perdre le contrôle des charges financières et sociales.

Les problèmes concernant les écoles et les abus sociaux se posent tout particulièrement dans les cantons. Des réglementations fédérales ne sont guère utiles à ce niveau. Les autorités locales doivent intervenir et veiller à empêcher la violence dans les écoles, si nécessaire avec l’aide de la police. Les écoles doivent imposer la tolérance zéro en ce qui concerne l’alcool, les drogues et la violence. Les adolescents violents doivent être systématiquement placés dans des institutions spéciales et formés à part. De plus, les écoles publiques n’ont par principe pas à accepter des exigences spéciales concernant l’enseignement. Les parents qui en formulent doivent placer leurs enfants dans des écoles privées et en assumer les frais. Mais les autorités doivent aussi veiller à ce que les abus sociaux des étrangers soient dénoncés et que les permis de séjour des fautifs soient révoqués.

Berne, 23 mars 2006

 
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