Nouveau programme politique de l’UDC : pour une Suisse libre et sûre

«Nous voulons être libres comme l’étaient nos pères.» Ce message du Pacte fédéral de 1291 revêt une valeur perpétuelle pour la Suisse. Sans liberté, il n’y a pas d’autodétermination, sans sécurité, il n’y a pas de prospérité. Notre liberté n’est pas un cadeau du ciel. Elle doit être constamment défendue contre des pressions extérieures, mais aussi intérieures, contre tous les milieux qui cherchent à placer sous tutelle les citoyennes et les citoyens et à miner la démocratie directe.

Seule l’UDC s’efforce de corriger le mauvais cap
La garantie de la liberté et de la sécurité serait en fait la tâche clé de l’Etat, mais celui-ci ne s’en soucie guère aujourd’hui. La non-application de décisions du peuple, la constante reprise de droit UE, les muselières réduisant la liberté d’opinion et la dictature du politiquement correct sont autant de signes révélant l’émergence d’une prétendue élite politique qui se sent gênée par la démocratie directe. Unique parti à combattre inlassablement ce développement néfaste, l’UDC s’engage depuis plus de cent ans pour une Suisse dont les citoyens peuvent décider librement de leur avenir.

L’UDC combat l’immigration incontrôlée
Dans l’ensemble, la Suisse se porte plutôt bien aujourd’hui. Cela peut rapidement changer, car d’ores et déjà se dessine un affaiblissement de l’économie. Cette menace n’empêche pas la gauche de réclamer dans son dernier programme économique des réformes hostiles à l’économie comme la semaine de 35 heures sans baisse du salaire, six semaines de vacances pour tous ou encore un congé parental d’au moins 38 semaines. Pour financer ce programme, le PS entend comme de coutume puiser dans la poche des contribuables. « Une fois de plus, on veut saigner la classe moyenne qui travaille durement pour vivre », constate Albert Rösti, président de l’UDC Suisse.

L’UDC s’oppose avec détermination à ces projets, tout comme aux interventions qui renchérissent encore plus le travail en Suisse et font perdre des emplois. La sécurité de l’emploi est également menacée par le projet d’accord-cadre institutionnel avec l’UE et la libre circulation des personnes. Aussi, l’UDC continuera-t-elle de se battre pour une gestion autonome de l’immigration, seule manière de protéger les travailleurs âgés contre l’éviction de leurs places de travail par des immigrants.

L’UDC combat le renchérissement de l’essence et les expériences scolaires
Ce nouveau programme politique confirme une fois de plus que l’UDC est le seul parti ayant le courage de s’attaquer à des problèmes délicats. Par exemple, l’UDC s’engage rigoureusement pour les automobilistes en dénonçant l’excès des amendes pratiqué par les cantons et les communes, la hausse du prix des carburants et le subventionnement transversal des transports publics par les usagers de la route. L’UDC veut une école primaire forte et s’oppose à des expériences scolaires nuisibles et irréalistes comme l' »écriture phonétique ».

Les citoyennes et citoyens peuvent compter sur l’UDC
Dans son nouveau programme politique l’UDC énonce tout haut ce que pensent de nombreuses Suissesses et de nombreux Suisses: la Suisse doit renforcer son autodétermination, son indépendance et ses attraits économiques pour mieux résister aux tentatives de chantage de Bruxelles. L’UDC assume à tout point de vue la responsabilité de la Suisse, de notre patrie – non seulement dans les grands centres, mais aussi et surtout dans les régions périphériques. « Les citoyennes et les citoyens peuvent compter sur nous – nous nous engageons de toutes nos forces pour une Suisse libre et sûre », affirme Peter Keller, responsable programmatique.

L’UDC Suisse adoptera définitivement son nouveau programme politique lors de son congrès de programme du 26 janvier 2019 à Gossau.