Journal du parti Franc-parler février 2020

Eviter l’enfer de la surpopulation ? Une question d’écologie !

La population de notre pays ne cesse d’augmenter. La cause ? Nous la connaissons tous. Ce n’est pas parce que nous faisons trop d’enfants ; au contraire, nous sommes, comme toute la Vieille Europe, en plein hiver démographique. Non. La cause, il n’y en a qu’une : l’immigration massive.

Nous sommes en train de nous entas- ser toujours plus dans un pays déjà petit dont les espaces constructibles, comme les voies de communication, ne sont pas extensibles à l’infini. Les trains sont toujours plus bondés, nos routes et nos autoroutes toujours plus chargées, nos villes bientôt asphyxiées. Les salariés souffrent toujours plus de la pression de la main-d’œuvre importée, frontalière ou non, sur leurs emplois et sur leurs salaires.

Combien de temps encore ?
Une chose est sûre : il y a une limite. Car il ne saurait y avoir de croissance infinie dans un espace fini, pas plus qu’une augmentation sans limite de la population dans un espace limité. La surpopulation, en effet, aggrave presque mécaniquement tous les problèmes, surtout environnementaux et sociaux. Elle représente un facteur décisif de surconsommation, de sur
exploitation des ressources naturelles, d’accumulation de déchets et de pollution en général. Elle accroît de manière tout aussi décisive l’épuisement des ressources agricoles indigènes et du même coup, notre dépendance au marché mondial qui la détruit.

Eviter ce cauchemar à nos enfants
Pour certains, en particulier dans les cercles mondialistes, une Suisse à 10 millions d’habitants (car nous y allons tout droit), c’est un fantasme. Curieusement, c’est aussi le cas pour les Verts, qui croient pouvoir découpler deux sujets, la démographie et l’environnement, pourtant indissolublement liés. A quoi bon, pourtant, écraser de taxes les Suisses dont le travail ne leur permet déjà plus de payer leurs primes d’assurance maladie si l’on ne traite que certains effets de la surpopulation et non pas sa cause ? Pour nous, c’est au contraire un cauchemar dont nous avons le devoir de préserver notre pays. Eviter ce cauchemar à nos enfants, c’est exactement l’objectif – ou l’un des objectifs – de l’initiative de limitation qui, d’une manière conséquente, propose de limiter, vraiment, l’immigration.

Certains, plus nombreux depuis l’automne dernier au Parlement fédéral, quelques grévistes aussi, tiennent des discours sur l’environnement. Eh bien nous, avec l’initiative de limitation, ce que nous proposons, c’est de réfléchir d’une manière décomplexée sur les causes sur lesquelles nous pouvons vraiment avoir prise et d’agir en faveur de l’environnement. La première d’entre elles, justement, c’est l’immigration, avec ses effets décisifs sur notre qualité de vie et sur le réchauffement climatique.

Nos enfants ont droit à un avenir. Ils ne se contenteront pas de discours. Au contraire, ils veulent des actes. C’en est un, précisément, un acte important que nous leur proposons : pour leur donner une voix, pour en donner une à tous ceux qui ne veulent pas continuer à s’entasser dans une Suisse à 10 mil- lions d’habitants, votons OUI, le 17 mai, à une vraie limitation de l’immigration !

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