Communiqué de presse

Finances fédérales: La politique UDC porte des fruits

La politique claire et nette de l’UDC, le soutien qu’elle apporte aux nombreux programmes d’économies et d’allègements budgétaires ainsi que sa résistance opiniâtre à toute nouvelle dépense ont des…

(UDC) La politique claire et nette de l’UDC, le soutien qu’elle apporte aux nombreux programmes d’économies et d’allègements budgétaires ainsi que sa résistance opiniâtre à toute nouvelle dépense ont des effets positifs sur les finances de la Confédération. Mais ce n’est qu’une victoire d’étape et il n’y a pas de quoi se relâcher – un constat qui vaut surtout pour les partis du centre. L’UDC met en garde contre une interprétation fallacieuse des chiffres, voire contre de nouvelles revendications adressées à l’Etat. Car la dette continue de s’alourdir même si la Confédération présente des excédents de recettes. La raison en simple: la Confédération tient une comptabilité « à double fond ». L’UDC invite le Conseil fédéral à prendre de nouvelles mesures de consolidation du budget fédéral et à réduire enfin la dette de la Confédération.

La dette de la caisse fédérale s’établit toujours à de monstrueux 130 milliards de francs. L’UDC refuse de transmettre cette ardoise aux générations à venir. Et bien que la Confédération annonce un bénéfice pour 2007, la dette continue de s’alourdir. Cette apparente contradiction est due au fait que l’Etat tient deux comptabilités: un compte financier destiné au grand public et qui ne comporte pas les dettes et un compte des résultats qui inclut les dettes. Il s’agit donc d’une « méthode comptable à double fond ». Le Conseil fédéral ne parle jamais que du compte financier, si bien que la dette fédérale peut continuer de croître malgré la présence d’excédents de recettes.

Nonobstant les bonnes nouvelles financières annoncées pour 2007 et le tournant qui semble s’amorcer grâce à l’UDC, il faut continuer d’être prudent. Tout triomphalisme est déplacé. L’UDC exige que la Confédération poursuive sur la voie de la guérison et qu’elle cesse définitivement de dépenser plus qu’elle ne gagne. Cette mesure fort simple permettra de stopper enfin la constante augmentation de la dette.

Berne, 5 juillet 2006

 
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