Communiqué de presse

Non à la drogue et tolérance zéro pour les producteurs et utilisateurs de pornographie enfantine

Lors de leur assemblée plénière de septembre 2008, les Femmes UDC Suisse ont arrêté leurs consignes de vote concernant les projets sur la drogue et sur la pénalisation des actes…

(Femmes UDC) Lors de leur assemblée plénière de septembre 2008, les Femmes UDC Suisse ont arrêté leurs consignes de vote concernant les projets sur la drogue et sur la pénalisation des actes pornographiques qui sont soumis à la votation populaire du 30 novembre 2008. Elles disent deux fois NON aux égarements de la politique de la drogue et OUI à l’imprescriptibilité des actes de pornographie enfantine.

Le 30 novembre prochain le peuple suisse vote sur l’initiative pour le chanvre et la révision de la loi sur les stupéfiants. Ces deux projets minimisent les effets désastreux des drogues sur les humains. Les nombreuses études scientifiques qui confirment l’effet dévastateur des drogues sont tout simplement et superbement ignorées par les partisans de ces deux projets. Ces milieux préfèrent fermer les yeux devant les destructions que subit le cerveau par les dépôts de THC, un produit innervant hautement toxique. La politique de la drogue qu’ils prônent exprime tout leur mépris de l’être humain. Même constat pour la nouvelle disposition de la loi révisée sur les stupéfiants qui veut étendre à tous les stupéfiants l’actuelle distribution d’héroïne par l’Etat. Or, les partisans de cette réforme sont toujours incapables d’étayer le moindre succès de cette prétendue thérapie. Les Femmes UDC Suisse se battent pour une société éveillée et performante, pour une politique de la drogue visant l’abstinence et, comme le Parlement des jeunes du 23 novembre 2007, elles disent NON aux égarements de la politique suisse de la drogue.

Les Femmes UDC Suisse disent en revanche OUI à l’initiative populaire pour l’imprescriptibilité des actes de pornographie enfantine. Une personne qui commet aujourd’hui un vol à l’étalage risque une peine d’emprisonnement maximale de 5 ans alors que les propriétaires de productions pornographiques impliquant des enfants s’exposent tout juste à un emprisonnement d’un an. Avec le nouveau droit pénal, ces individus peuvent même espérer s’en sortir avec une peine pécuniaire. Cette disproportion crasse encourage évidemment le marché monstrueux de la pornographie enfantine. Il doit être clair pour tout le monde que exploitation des enfants, de quelle que forme soit-elle, n’est en aucun cas tolérée. Voilà pourquoi les Femmes UDC soutiennent l’initiative pour l’imprescriptibilité des actes de pornographie enfantine.

Berne, 17 septembre 2008

 
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