Communiqué de presse

Points forts politiques de l’UDC en 2005

40 nouvelles sections locales, 3000 nouveaux membres du parti, 24 sièges gagnés dans les parlements cantonaux, 2 nouveaux conseillers d’Etat, 8 votations fédérales remportées, quatre initiatives ou…

Points forts politiques de l’UDC en 2005
(UDC) 40 nouvelles sections locales, 3000 nouveaux membres du parti, 24 sièges gagnés dans les parlements cantonaux, 2 nouveaux conseillers d’Etat, 8 votations fédérales remportées, quatre initiatives ou référendums lancés ou déposés, voilà la bilan de l’UDC pour l’année 2004. Quant à l’année qui vient de commencer, elle sera marquée par les votations de politique extérieure les plus importantes de cette législature.

2004 a été une année de travail intense, mais néanmoins satisfaisante pour l’UDC. L’UDC a remporté davantage de votations fédérales que les autres partis gouvernementaux (UDC 8, PS 7, PRD 6, PDC 6). Dans les campagnes concernant les projets de naturalisation et l’initiative pour l’internement, l’UDC s’est battue seule contre la coalition du centre-gauche. Parallèlement, l’UDC a déposé son initiative pour la baisse des primes, fait aboutir un référendum contre l’assurance-maternité et lancé l’initiative populaire pour des naturalisations démocratiques. Actuellement, l’UDC soutient la référendum contre Schengen-Dublin.

L’indépendance et la liberté de la Suisse, de même que la sécurité des citoyens seront les points forts de l’action de l’UDC en 2005. Nombre de citoyennes et de citoyens qui avaient soutenu l’EEE en 1992 ont aujourd’hui changé d’avis. En vue de la votation sur l’accord de Schengen, l’UDC s’efforcera donc avant tout d’ouvrir à temps les yeux des Suissesses et des Suisses. En effet, les accords de Schengen/Dublin ne concernent ni l’économie, ni la sécurité, mais leur but est uniquement de supprimer les frontières et d’intégrer la Suisse dans l’UE. Schengen ouvre les portes de la Suisse à la criminalité. Schengen oblige la Suisse à reprendre quelque 500 pages de textes de loi UE et le développement futur de ce droit. Voilà comment le Conseil fédéral et la coalition du centre-gauche tentent de préparer la Suisse à une rapide adhésion à l’UE.

La place de plus en plus grande que prend le droit international, que la majorité des citoyens ne connaissent pas, suscite de nombreuses questions. L’UDC a donc constitué un groupe de travail chargé d’examiner en détail le rapport entre le droit national et le droit international. Ce groupe sera dirigé par le conseiller national Luzi Stamm. Il fera rapport au parti jusqu’à la prochaine session de printemps des Chambres fédérales et proposera des mesures concrètes ainsi que des bases pour le dépôt d’interventions parlementaires.

En outre, l’UDC continuera de s’engager en 2005 pour une place économique suisse attrayante, donc notamment pour l’assainissement des finances publiques et la baisse des impôts, taxes et redevances. Les déficits prévus au plan financier porteront la dette de la Confédération à quelque 145 milliards de francs en 2008, soit près de 80’000 francs par famille. L’UDC n’accepte plus de cautionner cette politique financière irresponsable de la Confédération et exige un assainissement complet des finances de l’Etat.

Berne, le 3 janvier 2005

 
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