Communiqué de presse

Pour une armée crédible capable de protéger la population

L’UDC s’engage avec détermination pour une défense nationale crédible et une armée forte. Cette dernière est la principale garantie de la sécurité et de la protection de la population, notamment dans des situations de crise. A la suite du refus de la loi fédérale sur le fonds d’acquisition de l’avion de combat Gripen lors de la votation populaire du 18 mai 2014, l’UDC a remis à jour son document de fond sur la politique de sécurité et défini le cadre d’une armée crédible.

L’UDC s’engage avec détermination pour une défense nationale crédible et une armée forte. Cette dernière est la principale garantie de la sécurité et de la protection de la population, notamment dans des situations de crise. A la suite du refus de la loi fédérale sur le fonds d’acquisition de l’avion de combat Gripen lors de la votation populaire du 18 mai 2014, l’UDC a remis à jour son document de fond sur la politique de sécurité et défini le cadre d’une armée crédible.

La situation internationale restera incertaine dans les années à venir. C’est dire qu’une armée de milice crédible est d’une importance capitale pour la sécurité du pays et de ses habitants. Il s’agit désormais de poser les bons jalons pour la future politique de sécurité. En particulier, il faut renoncer à l’orientation de l’armée vers la coopération internationale comme cela s’est fait progressivement durant ces vingt dernières années. On renforcera ainsi le rôle de la neutralité suisse. La décision populaire du 18 mai 2014 contre l’avion Gripen exige en outre un renforcement des troupes au sol ainsi qu’une exploitation optimale des moyens disponibles en l’air. Ces constats débouchent sur les revendications suivantes:

  1. l’effectif de l’armée ne doit pas tomber en dessous de 120 000 militaires.
  2. l’armée doit être mobilisable en 3 jours, certains éléments en quelques heures.
  3. l’armée dispose d’un crédit annuel de 5 milliards de francs pour remplir sa mission.
  4. l’armée a absolument besoin des moyens financiers libérés par le refus de la loi sur le fonds Gripen. Cet argent doit être investi en priorité dans un équipement complet (personnel et collectif) des troupes au sol (forces terrestres).
  5. la capacité d’intervention des forces aériennes (notamment pour le service de police de l’air) doit être garantie jusqu’au remplacement des avions F/A-18, également par le nombre nécessaire d’avions Tiger F-5.
 
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