La sécurité n’est pas tout, mais tout est vain sans sécurité

La garantie de la sécurité et de l’ordre est la principale tâche de l’Etat. Or, il suffit d’ouvrir un journal pour se rendre compte de la dégradation constante de la sécurité dans notre pays. Nombre de citoyennes et de citoyens en ont subi directement les conséquences.

Adrian Amstutz
Adrian Amstutz
conseiller national Sigriswil (BE)

Et que font les responsables ? Ils répètent comme des moulins à prières des messages lénifiants en se fondant sur de vagues statistiques. Oser prétendre que la sécurité est aujourd’hui plus élevée que dans le passé et que la criminalité baisse, c’est prendre les habitants de ce pays pour des imbéciles. La tolérance, pour ne pas dire la capitulation des autorités responsables et des juges face aux criminels violents, aux casseurs qui sévissent lors de manifestations et aux hooligans n’est plus acceptable. Les agents de police sur le terrain sont abandonnés par leurs supérieurs politiques et deviennent le gibier des voyous de toutes sortes. Ils doivent accepter de se faire insulter, menacer et même attaquer physiquement. Cela ne peut pas continuer ainsi. Nous avons à nouveau besoin d’une police capable d’intervenir rigoureusement sans que les autorités ne l’entravent dans son action. Nos forces de l’ordre ont la capacité et la volonté de remplir leur mission si on les laisse faire. Les agents et agentes de police sur le terrain doivent être soutenus et non pas entravés afin qu’ils puissent à nouveau garantir notre sécurité.

Pendant que le Conseil fédéral et la majorité du Parlement dans leur habituelle attitude de soumission devant Bruxelles durcissent le droit suisse des armes sous le prétexte fallacieux de la lutte contre le terrorisme et désarment des Suissesses et de Suisses honnêtes, une bonne centaine d’islamistes dangereux s’égaillent joyeusement et sans aucun risque dans notre pays en vivant souvent confortablement de l’aide sociale. La monstruosité bureaucratique que constitue le droit UE des armes enfermera des douzaines d’agents de police dans les bureaux pour effectuer des contrôles alors qu’ils seraient infiniment plus utiles dans la rue pour y veiller à la sécurité publique. Mais cela n’intéresse pas la majorité des politiciens de ce pays. Leur unique souci est de d’obéir aux ordres stupides des fonctionnaires UE.

Nous attendons de notre Etat de droit qu’il garantisse la sécurité des habitants de la Suisse, à l’intérieur comme à l’extérieur, afin que nous puissions profiter de notre liberté. La réalité est cependant que l’Etat s’occupe de tout et de n’importe quoi, mais néglige sa tâche centrale. La majorité du Conseil fédéral et du Parlement ne cesse de reporter, sous le prétexte fallacieux d’un manque d’argent et contre la volonté de l’UDC, l’acquisition indispensable de nouveaux systèmes d’armement afin que notre armée soit à même de protéger les femmes et les hommes de ce pays. En même temps la majorité de centre gauche offre à l’UE des milliards de francs afin que ses Etats membres – c’est le cas actuellement de la Pologne et de la Roumanie – puissent s’équiper plus facilement en armements ultramodernes. Cette politique illustre le mépris complet de ces milieux politiques pour la sécurité nationale ainsi que pour les hommes et les femmes engagés dans notre armée.

 

L’UDC n’accepte plus que l’Etat protège de moins en moins les habitats de ce pays, ne contrôle pas efficacement les frontières, refuse à l’armée les équipements dont elle besoin pour défendre la Suisse et renonce à expulser les criminels étrangers.

Les Russes, les Chinois, les Américains et même l’OTAN et l’UE dépensent toujours plus d’argent pour leur armement. Les dépenses militaires augmentent d’une manière générale. En Suisse cependant, les enfants gâtés et paresseux qui peuplent le Conseil fédéral et le Parlement ne s’en aperçoivent pas ou, plutôt, refusent de l’admettre.

L’immigration de masse et une mauvaise politique d’asile permettent un énorme afflux de gens dont souvent nous ignorons même l’identité. De nombreux habitants de ce pays, notamment des jeunes femmes et des personnes âgées, n’osent plus marcher dans les rues la nuit. Les attaques violentes, assassinats, bagarres au couteau, viols, cambriolages, menaces et brigandages font partie du quotidien. Notre beau pays est victime d’une grave dégradation des mœurs. Des agents de police et même des ambulanciers se font attaquer. Le droit du plus fort s’impose à maints endroits. Les villes sont dévastées par des batailles de rue, des manifestations violentes et des occupations illicites de maisons. La proportion d’étrangers parmi les malfaiteurs a atteint un niveau inquiétant.

Il est grand temps de rétablir l’ordre et la sécurité. Il faut cesser d’entraver la police dans son action et donner au contraire plus de compétence et de protection aux agentes et aux agents des forces de l’ordre. La protection des victimes doit avoir la priorité sur les intérêts des délinquants. Nous en avons assez d’une justice complaisante à l’égard des criminels et de tribunaux qui chouchoutent les délinquants étrangers au lieu de les expulser systématiquement comme l’a exigé le peuple suisse.

Nous voulons que les habitants de Suisse puissent à nouveau vivre en sécurité et en liberté.

Adrian Amstutz
Adrian Amstutz
conseiller national Sigriswil (BE)
 
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