Exposé

Le combat contre le camp rouge-vert et ses complices

Il est évident que le combat contre les méfaits de la politique rouge-verte passe avant tout par l’UDC. L’UDC est le seul parti qui ose systématiquement dénoncer et stopper les errements des élus du c

Adrian Amstutz
Adrian Amstutz
conseiller national Sigriswil (BE)

Il est évident que le combat contre les méfaits de la politique rouge-verte passe avant tout par l’UDC. L’UDC est le seul parti qui ose systématiquement dénoncer et stopper les errements des élus du camp rouge-vert. S’il est finalement normal que ces milieux perdent parfois la boule dans des débats politiques comme celui concernant les lois sur l’asile et les étrangers, il est néanmoins regrettable que ces déraillements parviennent à insécuriser un PRD et un PDC divisés car comptant dans leurs rangs de nombreux complices de cette politique. Le peuple commence aussi à se rendre compte de la serviabilité et de la complaisance dont la majeure partie des médias suisses font preuve à l’égard du camp rouge-vert.

La lutte contre le camp rouge-vert est devenue considérablement plus efficace depuis le renforcement du groupe parlementaire UDC aux élections fédérales 2003 et depuis l’entrée d’un deuxième conseiller fédéral UDC au gouvernement. Mais cela ne suffit pas, beaucoup s’en faut. Il n’est guère utile en fin de compte que les deux conseillers fédéraux UDC imposent des programmes d’économies rigoureux à leurs départements alors que les autres ministres continuent de jeter par les fenêtres l’argent ainsi économisé.

Le camp rouge-vert gagne encore – moins souvent qu’autrefois, mais néanmoins toujours trop souvent – des votations dont les effets sont extrêmement nocifs pour tout le pays. Ainsi, toutes les propositions UDC de réduire les dépenses fédérales dans le budget 2007 ont été rejetées alors que l’état des finances fédérales réclame des coupes. En d’autres termes, la majorité du Parlement refuse d’économiser. Elle continue de distribuer l’argent à pleines mains alors que la caisse de l’Etat est vide. Plus question de ce comportement anticyclique que la gauche habituée à gaspiller l’argent des contribuables et ses complices dans les rangs du PRD et du PDC prêchent à chaque phase de récession. Bien au contraire: au lieu de profiter d’un contexte économique positif pour réduire la dette gigantesque – plus de 130 milliards de francs – de la Confédération, ces politiques irresponsables soutenus par la majorité des médias augmentent même le découvert de la caisse fédérale. Cela en sachant parfaitement que ce seront nos enfants et nos petits enfants qui devront un jour effacer cette ardoise monstrueuse et que ce boulet réduira leur marge de manœuvre et compromettra leur avenir.

Ce même camp rouge-vert et ses complices continuent, en fermant les yeux devant l’évidence et en ignorant la volonté clairement exprimée du peuple, de pratiquer une politique d’asile et des étrangers manifestement échouée.

C’est à leur prétendue tolérance que nous devons tous les dysfonctionnements dans ce domaine. Alors que le peuple suisse a massivement approuvée la ligne défendue depuis des années par l’UDC dans la politique d’asile et des étrangers, d’autres exigences UDC restent enlisés dans le marécage rouge-vert. En effet, l’UDC exige depuis longtemps le strict respect non seulement de la loi et de l’ordre, mais aussi de nos us et coutumes. Les étrangers qui refusent de s’y plier n’ont rien à faire dans notre pays.

L’UDC s’engage totalement pour les valeurs fondamentales chrétiennes et occidentales qui constituent le fondement de notre Etat. Nous n’admettons pas dans notre pays des sociétés parallèles qui vivent selon la sharia. Les mariages forcés, les excisions, les viols et les autres attitudes témoignant du mépris des femmes doivent être combattus rigoureusement. De même, il s’agit de stopper immédiatement le minage sournois de nos valeurs chrétiennes et occidentales par la construction de minarets qui sont autant de provocations, voire par l’interdiction des décorations de Noël et autres fêtes de l’Avent dans les écoles. Dans ce même ordre d’idées, il faut mettre fin aux diktats des minorités dans l’enseignement.

Le camp rouge-vert cherche toujours à pousser notre pays dans l’UE. L’UDC est le seul parti politique à s’opposer avec fermeté à ces tentatives. Nous refusons de laisser avaler la Suisse indépendante, neutre et libérale par le monstre bureaucratique bruxellois dont l’unique souci est de tirer un maximum d’argent de notre pays. La Suisse fait tous les jours la preuve qu’elle est parfaitement apte à progresser au niveau économique sans être membre de l’UE. N’en déplaise aux cassandres qui hurlent depuis le refus de l’EEE.

L’UDC veut entretenir des relations amicales avec tous les pays du monde, mais dans le respect mutuel et dans un esprit de partenariat équitable. En d’autres termes, sans serviabilité et sans attitude de soumission, mais aussi sans arrogance. L’eurofanatique conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey compromet par ses déclarations irréfléchies et contraires aux règles de la neutralité cette politiquer extérieure basée sur la réserve et les bons offices. Elle doit enfin être remplacée par une personne plus fiable.

Le peuple suisse devra choisir au moment des élections fédérales 2007: soit il vote pour une majorité authentiquement bourgeoise au Parlement et au Conseil fédéral, soit il permet au camp rouge-vert de prendre le pouvoir. Or, l’UDC constitue l’unique bastion fiable contre la politique désastreuse de la gauche. Les citoyennes et les citoyens qui veulent mettre fin au gaspillage de l’argent des contribuables, qui veulent stopper une bureaucratie boursouflée, qui refusent l’adhésion à l’UE, qui s’opposent aux naturalisations en masse et qui veulent renforcer la lutte contre la criminalité parmi les étrangers n’ont pas d’autre choix que de soutenir les candidats UDC aux élections nationales et, avec eux, les conseillers fédéraux Samuel Schmid et Christoph Blocher au gouvernement. Voilà la seule manière de sortir la Suisse du marécage dans lequel l’enfonce la politique rouge-verte.

Adrian Amstutz
Adrian Amstutz
conseiller national Sigriswil (BE)
 
Nous utilisons des cookies pour personnaliser le contenu et les publicités, proposer des fonctionnalités pour les médias sociaux et pour analyser l'accès à notre site. Nous fournissons également des informations sur l'utilisation de notre site Web à nos partenaires des médias sociaux, de la publicité et de l’analyse.Voir les détails Voir les détails
Je suis d'accord