Communiqué de presse

De plus en plus de requérants d’asile et de touristes criminels

La statistique criminelle 2011 publiée aujourd’hui indique une forte hausse du nombre de délits (692 954 au total, + 5,5%). Dans certaines villes suisses – par ex., Lausanne, Genève, Berne…

La statistique criminelle 2011 publiée aujourd’hui indique une forte hausse du nombre de délits (692 954 au total, + 5,5%). Dans certaines villes suisses – par ex., Lausanne, Genève, Berne – la délinquance a littéralement explosé. Pour la première fois, la majorité des individus violant le Code pénal étaient d’origine étrangère. La statistique annonce surtout une augmentation du nombre de requérants d’asile criminels et l’arrivée d’un nombre croissant de touristes criminels. Face à ces chiffres, l’UDC exige que l’initiative sur le renvoi des étrangers criminels, que le peuple et les cantons ont approuvée, soient enfin appliquée. Il serait aussi grand temps d’agir plus sévèrement contre les requérants d’asile criminels et de mettre fin à l’aventure Schengen et ses frontières ouvertes.

Un an et demi après l’approbation de l’initiative sur le renvoi, le Conseil fédéral n’a même pas encore mis en consultation un projet de loi appliquant cet article constitutionnel adopté par le peuple et les cantons. Cette attitude est intolérable. Aussi, l’UDC a-t-elle décidé d’accélérer le lancement de son initiative populaire contraignant les autorités d’appliquer enfin la nouvelle disposition constitutionnelle.

A côté du Conseil fédéral, les partis du centre-gauche portent aussi une part de responsabilité dans l’augmentation de la criminalité. Durant la session de printemps qui vient de se terminer, une majorité composée de représentants du PS, des Verts, du PDC et du PLR a refusé une initiative parlementaire UDC réclamant que les trafiquants de drogues soient exclus de la procédure d’asile. Or, les derniers chiffres statistiques indiquent combien il serait urgent d’agir enfin avec détermination contre les requérants d’asile criminels.

Cette statistique prouve aussi clairement que la Suisse est de plus en plus submergée par des touristes criminels en raison de ses frontières ouvertes où les contrôles sont quasi absents. Il s’avère que la promesse d’une sécurité accrue faite par le Conseil fédéral et les partisans de l’accord de Schengen n’était qu’un pur mensonge. Il vaudrait mieux mettre fin aujourd’hui que demain à la désastreuse aventure Schengen. C’est bien pour cette raison que le groupe parlementaire UDC a déposé durant la session de printemps 2012 une motion réclamant la dissolution de l’accord de Schengen (motion 12.3.3126 du conseiller national Pierre Rusconi).

 
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