Communiqué de presse

Nos rÈgles sont valables pour tous

Une proportion d’étrangers de 22% et une immigration de plus en plus forte en provenance de pays ayant une culture très éloignée de la nôtre placent la Suisse devant des problèmes difficiles. Il…

(UDC) Une proportion d’étrangers de 22% et une immigration de plus en plus forte en provenance de pays ayant une culture très éloignée de la nôtre placent la Suisse devant des problèmes difficiles. Il est grand temps d’imposer à nouveau strictement les règles de cohabitation de notre pays. Les étrangers hôtes de la Suisse doivent respecter notre régime légal et nos us et coutumes – ou quitter le pays.

Le nombre de naturalisations a plus que doublé durant les dix ans écoulés pour atteindre aujourd’hui quelque 40’000 par an. Or, bien que certains milieux tentent par tous les moyens de naturaliser en masse, la proportion d’étrangers ne cesse d’augmenter. De plus, le nombre d’étrangers ayant commis un crime, détenus dans les prisons ou touchant une rente de l’assurance-chômage, de l’AI ou de l’assistance publique est totalement disproportionné par rapport à l’effectif de la population étrangère. L’allemand ou le français sont devenus des langues minoritaires dans de nombreuses classes d’école et les prisons suisses offrent généreusement toute une palette de menus pour tenir compte des coutumes culturelles ou religieuses des détenus. Les formulaires et la correspondance officielle sont traduits dans de multiples langues. Bref, cette immigration incontrôlée augmente les coûts et les risques pour notre société.

L’UDC salue les lois révisées sur l’asile et les étrangers. Elle a de surcroît développé dans un groupe de travail des mesures supplémentaires qui permettent de veiller à ce que la Suisse reste un pays où il fait bon vivre. Pour cela, il faut commencer par faire respecter par tous le droit et les règles de cohabitation de la Suisse. Les étrangers qui refusent de s’y tenir doivent quitter le pays. L’UDC invite tous les étrangers vivant chez nous à s’adapter davantage aux normes suisses.

Vice-présidente du parti et députée au Grand Conseil, Sylvia Flückiger est confrontée tous les jours dans son canton (AG) aux problèmes que pose une immigration incontrôlée. Cela fait longtemps qu’elle s’engage pour une limitation de l’immigration. Pour Yvan Perrin, conseiller national (NE), agent de police et président du groupe de travail Migration de l’UDC, il faut prononcer des peines plus sévères et des expulsions contre les malfaiteurs étrangers pour rétablir la sécurité en Suisse. Le document stratégique du groupe de travail Migration de l’UDC sera soumis le 7 avril aux organes du parti. Il sera ensuite concrétisé par de nombreuses interventions parlementaires de l’UDC au niveau fédéral et cantonal.

Berne, 20 mars 2006

 
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