Exposé

Violence chez les jeunes: cela aussi, nous le devons aux autres partis!

Agressivité, violence, atteintes à l’intégrité physique et mentale, destructions d’équipements scolaires et même de jardins d’enfants, tout cela fait malheureusement partie du quotidien aujourd’hui…

Marianne Steiner, vice-présidente des Femmes UDC, Kaltbrunn (SG)

Agressivité, violence, atteintes à l’intégrité physique et mentale, destructions d’équipements scolaires et même de jardins d’enfants, tout cela fait malheureusement partie du quotidien aujourd’hui. La situation est alarmante et se reflète clairement dans la statistique pénale.

Qui est responsable de ce chaos?

La réponse à cette question est facile à donner: les milieux socialistes et autres bien-pensants qui ont défendu le laisser-faire en politique et aussi dans la vie sociale et qui n’ont cessé de promouvoir l’éducation antiautoritaire. Par ce mode d’éducation, les parents renoncent dès la naissance de leurs enfants aux responsabilités qui leur incombent de fait. Les petits humains sont pour ainsi dire jetés dans l’eau froide puisqu’ils doivent savoir, dès leur arrivée sur terre, ce qui est bien et ce qui est mal. On ne leur donne ni lignes directrices, ni repères et on ne leur impose aucune limite, bien qu’ils en demandent et qu’ils en aient d’ailleurs toujours demandé. Résultat de cette d’éducation: un accroissement inquiétant du nombre de jeunes malfaiteurs. Les Femmes UDC refusent d’assister les bras croisés à cette évolution.

Le courage de revenir en arrière

Il est grand temps de faire une halte, de considérer le trajet parcouru et de tirer les leçons des erreurs du passé. Nous appelons tous les parents à donner à leurs enfants – dès la naissance – des lignes directrices, des repères et des limites. C’est bien connu, un enfant apprend plus facilement qu’un adulte. Nous tous, les enfants comme les adultes, nous avons besoin de lignes directrices et de repères. C’est même là une condition indispensable à la cohabitation pacifique dans la société. Voilà la seule manière de régler le problème de la violence. Des limites doivent être fixées et celles et ceux qui les dépassent devront subir les conséquences de leur attitude.

Les Femmes UDC demandent un

durcissement du droit pénal des mineurs.

La consommation de drogues augmente et, avec elle, les affections physiques et mentales des jeunes. Les délits violents sont en règle générale liés à la consommation de stupéfiants. La sensibilisation des enfants aux conséquences fatales de la consommation d’alcool et de drogues doit commencer dans la famille et se poursuivre systématiquement dans les écoles et institutions de formation.

Les Femmes UDC demandent

une répression plus sévère du trafic et de la consommation de drogues chez les jeunes.

L’intention manifestée par l’Office fédéral de la santé publique de libéraliser les drogues douces a déjà eu des effets catastrophiques. La consommation de drogues ne cesse d’augmenter et ses conséquences néfastes sur la santé sont de plus en plus visibles.

Les Femmes UDC demandent

la réorientation de la politique irresponsable de la Confédération en matière de drogues.

Une fois de plus, le monde politique suisse cherche à occuper une première place dans un triste classement international. Cette évolution est dangereuse. Des études récentes confirment une fois de plus que les drogues ne sont pas simplement un produit de consommation, mais qu’elles nuisent gravement à la santé physique et mentale.

Les femmes UDC s’opposent donc catégoriquement à la légalisation des drogues dites douces.

 
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