Plus d’argent pour l’AVS et moins pour l’étranger

Edition spéciale Edition spéciale septembre 2019: Pour une Suisse libre et sûre

La confédération dépense toujours plus d’argent pour l’étranger. L’UDC entend changer cela et garantir les rentes AVS des Suissesses et des Suisses. Elle propose de prélever au moins un milliard de francs par année sur les quelque 5 milliards que la Confédération affecte uniquement à l’aide au développement et à l’asile et de transférer ce montant à l’AVS. Idem pour le milliard de cohésion de l’UE qui serait également mieux à sa place dans l’AVS.

Atteignant plus de 50’000 personnes en 2018, soit autant que la population de la ville de Bienne, l’immigration est toujours six fois plus élevée que le Conseil fédéral avait tenté de le faire croire au peuple suisse avant la votation sur la libre circulation des personnes. La préférence nationale exigée par le peuple suis­se a été inversée et traduite en une préférence étrangère par l’alliance PLR-PS. Pourtant, le taux de chômage suisse, soit 4,8%, est plus élevé que celui de l’Allemagne.

L’immigration coûte à la Suisse des sommes monstrueuses en termes de contributions sociales, de frais d’intégration et d’infrastructures. Parallèlement, la Confédération dépense une somme énorme – près de 5 milliards de francs par an – pour l’asile et l’aide au développement, soit plus que pour la sécurité nationale et même le double du montant consacré à la production agricole. De surcroît, la Suisse s’apprête à faire cadeau à l’UE de plus d’un milliard de francs pour ladite cohésion. Notre pays dépense de plus en plus d’argent pour l’étranger et pour entretenir les migrants sociaux du monde entier.

Cette politique est inacceptable et doit changer. L’initiative UDC de limitation veille à ce que la Suisse gère enfin elle-même l’immigration conformément à la volonté du peuple. Il s’agit également de fixer de nouvelles priorités pour les dépenses fédérales. Au moins un milliard de francs doit être transféré de l’aide au développement et de l’asile vers l’AVS. En outre, il n’y a pas lieu de verser 1,3 milliard de francs au fonds de cohésion de l’UE. Cet argent doit profiter aux habitants de la Suisse afin de garantir les rentes AVS d’une classe moyenne qui travaille durement.

partager l’article
par l’auteur
UDC conseiller national (SZ)
Nous utilisons des cookies pour personnaliser le contenu et les publicités, proposer des fonctionnalités pour les médias sociaux et pour analyser l'accès à notre site. Nous fournissons également des informations sur l'utilisation de notre site Web à nos partenaires des médias sociaux, de la publicité et de l’analyse.Voir les détails Voir les détails
Je suis d'accord