Stoppez les combinards de l’UE du Palais fédéral !

Edition spéciale Edition spéciale septembre 2019: Pour une Suisse libre et sûre

Au jeu du Mikado, le perdant est celui qui fait bouger le premier ses baguettes. Dans la bataille concernant l’accord de rattachement à l’UE, les perdants seraient manifestement ceux qui annoncent la couleur avant les élections fédérales du 20 octobre. Les partis qui acceptent ce diktat de l’UE évitent en tout cas soigneusement ce thème.

Ils préféreraient ne pas du tout en parler. Mais ils sont tous complices : economiesuisse, Union patronale, PLR, PDC, Verts Libéraux, Verts et PS. Même les syndicats, appâtés par des concessions qui nuisent à la liberté du marché du travail, rejoindront le camp des partisans de l’accord-cadre avant la fin de l’année.

Le modèle à succès suisse est menacé La Suisse était à l’origine un pays pauvre. Son succès exceptionnel en termes de prospérité, de paix et d’équilibre social s’explique uniquement par les piliers de son Etat qui s’appellent démocratie directe, fédéralisme et neutralité armée. Tout cela serait menacé par l’accord de rattachement à l’UE. Ce contrat permettrait à l’UE d’imposer ses règles dans les domaines de la libre circulation des personnes, de la politique agricole, des normes indus­trielles, de l’approvisionnement énergétique et même des axes de transit nord-sud.

Le peuple évincé Le peuple, actuellement le patron en politique, serait mis à l’écart. Il serait remplacé par le droit UE et le tribunal UE. On tente de nous faire croire que nous pourrions tout de même voter, mais que nous devrions alors accepter les «mesures de compensation» de Bruxelles. Cela relève du même cynisme que de dire aux automobilistes : «Vous êtes libres de foncer à 180 km/h dans une zone limitée à 30, mais vous devrez simplement accepter les mesures de compensation, soit le retrait définitif du permis de conduire, une peine d’emprisonnement et une amende de quelques dizaines de milliers de francs.»

Cette thématique paraît suffisamment importante pour être débattue avant les élections. Mais la coalition du rattachement à l’UE craint la lumière du jour. Elle veut tromper et surprendre le peuple a­près le 20 octobre. Ne permettez pas qu’on vous roule dans la farine ! Votez pour des représentants du peuple qui défendent à visage découvert les piliers de notre Etat !

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par l’auteur
UDC conseillère nationale (GE)
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