La vague des coûts sociaux

Edition spéciale Édition spéciale de février 2018: Limiter l’immigration

Une personne reconnue comme réfugié bénéficie des mêmes prestations de l’aide sociale qu’un Suisse qui a travaillé durant des décennies et payé des impôts dans le pays.

Les prestations de l’aide sociale sont souvent si élevées qu’il ne vaut pas la peine de chercher une activité lucrative. Un jeune Erythréen, par exemple, touche un montant en liquide de 986 francs par mois. Il a en plus droit à un logement et les cotisations aux assurances sociales sont prises en charge par la collectivité. Il dispose ainsi d’un revenu standard de 2600 francs. Pour un ménage de quatre personnes, les prestations sociales atteignent au moins 5000 francs.

Même le dentiste est payé
Sous le titre des «prestations conditionnées par la situation»1, les communes doivent de surcroît assumer les charges suivantes: dentiste, hygiène dentaire, lunettes, crèche pour les enfants, articles de bébé, ustensiles scolaires, primes, franchises des assurances dommages, ménage et responsabilité civile, meubles, équipements ménagers, frais de déménagement, frais d’avocat, documents officiels, abonnements des transports publics, frais du permis de séjour, frais de déplacement pour l’exercice du droit de visite, leçons de musique. La collectivité paie de surcroît les cotisations AVS/AI. Donc si cette personne arrive en Suisse à l’âge de 18 ans et vit aux frais de l’aide sociale jusqu’à 65 ans, elle touchera une rente AVS sans avoir travaillé un seul jour en Suisse.

L’industrie de l’asile connaît un boom
Les générations précédentes de réfugiés – Vietnamiens, Hongrois, Yougoslaves, etc. – se sont intégrées de leur propre initiative. Aujourd’hui, on assiste à l’émergence d’une véritable industrie de l’asile. Par exemple, un cours d’intégration de la fondation «Chance» coûte 3385 francs par mois pour apprendre à un réfugié à travailler. Un cours d’alphabétisation est facturé 1375 francs par mois, un entraînement au travail 1700 francs. Même pour un stage pratique, les contribuables paient 1540 francs par mois sans que le succès de l’opération ne soit garanti. Le secteur de l’asile est devenu une branche industrielle à charge des contribuables et des Suisses dans le besoin.

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par l’auteur
UDC conseillère nationale (ZH)
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