Une charge massive pour l’environnement: 1 million d’habitants supplémentaires en seulement 11 ans

Edition spéciale Édition spéciale de juin 2019: La raison doit remplacer l’idéologie

Il y a 11 ans en 2008 la Suisse comptait 7,6 millions d’habitants. Aujourd’hui, 8,6 millions de personnes vivent en Suisse en raison de l’immigration incontrôlée que subit notre pays. Ce million d’habitants supplémentaires a besoin de logements, d’écoles et d’hôpitaux. Ces personnes utilisent les routes et
les transports publics et consomment de grandes quantités d’eau, de carburant et d’électricité. Leur approvisionnement en denrées alimentaires augmente le nombre de transports en camion et les déchets que produisent ces habitants supplémentaires doivent également être transportés et éliminés.

Mais les sauveteurs autoproclamés du climat, soit le PS, le PVL, le PDC et les Verts auxquels vient de se joindre le PLR, refusent de prendre en considération les conséquences de cet afflux d’un million de personnes. Cette immigration de masse n’est pas un problème pour eux. Ils sont même allés jusqu’à violer grossièrement la Constitution fédérale en refusant d’appliquer ne fût-ce qu’un seul point de l’initiative contre l’immigration de masse approuvée par le peuple et les cantons. Ce qui ne les empêche pas de se lamenter de l’augmentation massive de la consommation d’eau et d’énergie et du bétonnage des paysages par la construction de logements supplémentaires. Ces partis refusent aussi de voir les changements sociétaux et
la mise en péril de certaines valeurs que provoque cette immigration massive.

Gérer l’immigration au lieu de multiplier les prescriptions
L’UDC était et est toujours le seul parti qui se bat contre l’immigration de masse. De leur côté, les milieux qui ferment les yeux devant la réalité n’ont de cesse de minimiser les problèmes.

«L’immigration consécutive à l’accord de libre circulation des personnes avec l’UE n’augmen­tera que de 8’000 à 10’000 personnes par an.» Voilà ce que nous a promis le Conseil fédéral, ajoutant au passage que l’éviction des travailleurs nationaux âgés par une main-d’œuvre étrangère jeune et bon marché était de la pure fiction. « L’intégration des immigrants ne pose aucun problème et l’AVS va même profiter », a-t-on osé affirmer. Et aujourd’hui, alors que toutes nos craintes se sont réalisées, ces mêmes partis veulent régler ces problèmes avec des interdictions et de l’argent. Bien entendu, cet argent est tiré des poches des citoyennes et des citoyens via une hausse des taxes sur l’électricité et les carburants et même moyennant une augmentation des cotisations AVS. Qui plus est, la multiplication des prescriptions renchérit la construction, donc le logement.

La population suisse reste stable ! L’immigration provoque une explosion démographique !

Je m’engage pour que personne ne soit obligé de vivre en 2033 déjà dans une Suisse à 10 millions d’habitants. Je ne veux pas qu’il devienne un étranger dans son propre pays. Voilà pourquoi je m’engage pour une Suisse libre et fondée sur les valeurs chrétiennes.

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par l’auteur
UDC conseillère nationale (GE)
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